Сегодня ночью ты думал о ней - Кирилл Комаров

Сегодня ночью ты думал о ней.

Сегодня ночью ты понял, что она никогда не будет твоей.

Ты привыкал к этой мысли всю ночь.

Осенний ветер рвал за окошком листву.

Вы с ним похожи точь-в-точь.

Ты никогда не желал ей зла.

Но когда в небе забрезжил рассвет, ты сказал: Всё.

Она умерла.

Хей, чёт-нечёт, будь что будет, а остальное не в счёт.

Что с того, что это чёрт влечёт тебя к ней?

Эй, шанс из ста,

Что боль пройдёт стороной, но только правда проста:

Не бойся боли, если хочешь стать сильней.

«Я мужчина, у меня нет прав на нытьё.»

Ты улыбался прохожим, но в каждом женском лице ты видел её.

И ты тонул в этом омуте лиц,

А ветер дул и дул, срывая листву и слёзы с ресниц.

Шум листьев, шорох души.

Скажи ещё раз: Она умерла.

Потому что так легче жить.

Хей, чёт-нечёт, будь что будет, а остальное не в счёт.

Что с того, что это чёрт влечёт тебя к ней?

Эй, шанс из ста,

Что боль пройдёт стороной, но только правда проста:

Не бойся боли, если хочешь стать сильней.

Ты научил свою память на пять,

Запоминая всё, что было с тобою.

Ну что ж, теперь учись забывать.

Теперь учись быть настороже.

Ветер не стих.

Он стих за окном, но не в душе.

Как колотится сердце твоё,

Как ты истово веришь, как искренне лжёшь, что не любишь её.

Хей, чёт-нечёт, будь что будет, а остальное не в счёт.

Сердце плачет, да всё поёт о ней.

Хей, один шанс из ста,

Что ты останешься цел, но только правда проста:

Не бойся боли, если хочешь стать,

Не бойся боли, если хочешь стать,

Не бойся боли, если хочешь стать сильней.

Сегодня ночью ты думал о ней.

Ce soir tu as pensé à elle.

Ce soir tu as réalisé qu'elle ne sera jamais à toi.

Tu t'es habitué à cette pensée toute la nuit.

Le vent d'automne arrachait le feuillage devant la fenêtre.

Toi et lui êtes exactement pareils.

Vous ne lui avez jamais souhaité de mal.

Mais quand l'aube s'est levée dans le ciel, tu as dit : Tout.

Elle mourut.

Hé, pair ou impair, advienne que pourra, et le reste ne compte pas.

Et si c'était le diable qui t'attirait vers elle ?

Hey chance sur cent

Que la douleur passera, mais seule la vérité est simple :

N'ayez pas peur de la douleur si vous voulez devenir plus fort.

"Je suis un homme, je n'ai pas le droit de me plaindre."

Tu souriais aux passants, mais sur le visage de chaque femme tu la voyais.

Et tu te noyais dans cette mare de visages,

Et le vent soufflait et soufflait, arrachant les feuilles et les larmes des cils.

Le bruit des feuilles, le bruissement de l'âme.

Redis-le : elle est morte.

Parce que ça facilite la vie.

Hé, pair ou impair, advienne que pourra, et le reste ne compte pas.

Et si c'était le diable qui t'attirait vers elle ?

Hey chance sur cent

Que la douleur passera, mais seule la vérité est simple :

N'ayez pas peur de la douleur si vous voulez devenir plus fort.

Tu as appris ta mémoire par cinq,

Se souvenir de tout ce qui t'est arrivé.

Eh bien, maintenant apprenez à oublier.

Maintenant, apprenez à être prudent.

Le vent ne s'est pas arrêté.

Il est mort à l'extérieur de la fenêtre, mais pas dans l'âme.

Comment ton coeur bat

À quel point tu crois vraiment, à quel point tu mens sincèrement que tu ne l'aimes pas.

Hé, pair ou impair, advienne que pourra, et le reste ne compte pas.

Le cœur pleure, mais tout chante à son sujet.

Hey, une chance sur cent

Que vous resterez intact, mais seule la vérité est simple :

N'aie pas peur de la douleur si tu veux devenir

N'aie pas peur de la douleur si tu veux devenir

N'ayez pas peur de la douleur si vous voulez devenir plus fort.

Ce soir tu as pensé à elle.