Meine Phantasien Sind Wie Brennendes Laub...nicht Von Dauer... - Nargaroth
С переводом

Meine Phantasien Sind Wie Brennendes Laub...nicht Von Dauer... - Nargaroth

  • Альбом: Semper Fidelis

  • Год: 2007
  • Язык: Allemand
  • Длительность: 12:24

Voici les paroles de la chanson : Meine Phantasien Sind Wie Brennendes Laub...nicht Von Dauer... , artiste : Nargaroth Avec traduction

Paroles : Meine Phantasien Sind Wie Brennendes Laub...nicht Von Dauer... "

Texte original avec traduction

Meine Phantasien Sind Wie Brennendes Laub...nicht Von Dauer...

Nargaroth

Оригинальный текст

Weinend, `ne Zig’rette haltend stehe ich am Fenster.

Ich seh' den Schnee der

fällt

Waren da nicht g ́rade Blumen, labend sich am Morgentau?

Lachte nicht grad da

ein Kind?

Es hatte meinen Namen, und auch sein Vater war ihm fremd.

Liebe war es,

wenn er schlug

Da war die Mutter.

Lachend.

Gold ́ne Sonne in ihrem Haar.

Und doch schwieg sie

da…

Nackt und noch immer weinend die Stirn gepresst ans kalte Glas, starr' ich

weiter durch das Fenster dessen Scheiben tränennass

Der Schnee beginnt im Sturm zu treiben.

Fratzen jagen durch das Grau.

Sie kommen aus dem Kindergestern, als Gruß erschallt ihr Lachen rau

Der Sturm legt frei eine Kinderleiche, mein Weinen weicht der Raserei.

Nackt werfe ich mich durch das Fenster, das Glas legt meine Wunden frei

Ich wollte fremde Früchte kosten, lachen hör ́n mein eig ́nes Kind.

Das Abendrot der Liebe leben und wandeln wo die Sterne sind

Schweigend lehne ich am Fenster

Mein Haar wie Fetzen im Gesicht.

Der Sturm träg fort meine Phantasien,

denn mehr sind sie leider nicht

Перевод песни

En pleurant, tenant une cigarette, je me tiens à la fenêtre.

je vois la neige

des chutes

N'y avait-il pas que des fleurs là-bas, rafraîchissantes dans la rosée du matin ?

Je n'ai pas ri tout de suite

un enfant?

Il portait mon nom et son père lui était également étranger.

j'adore c'était

quand il a frappé

Il y avait la mère.

En riant.

Un soleil d'or dans ses cheveux.

Et pourtant elle n'a rien dit

là…

Nue et pleurant encore, le front appuyé contre la vitre froide, je fixe

plus loin par la fenêtre dont les vitres sont mouillées de larmes

La neige commence à dériver dans la tempête.

Les visages chassent dans le gris.

Ils sortent de l'enfance d'hier, leurs rires résonnent durement en guise de salutation

La tempête expose le cadavre d'un enfant, mes pleurs font place à la rage.

Nue, je me jette par la fenêtre, la vitre expose mes blessures

Je voulais goûter le fruit de quelqu'un d'autre, entendre rire mon propre enfant.

Vivez le coucher de soleil de l'amour et marchez là où sont les étoiles

Je m'appuie contre la fenêtre en silence

Mes cheveux comme des chiffons sur mon visage.

La tempête emporte mes fantasmes,

car malheureusement ils ne sont rien de plus

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