Полк юнкеров - Александр Малинин
С переводом

Полк юнкеров - Александр Малинин

  • Альбом: Бал

  • Année de sortie: 2008
  • Langue: russe
  • Durée: 4:42

Voici les paroles de la chanson : Полк юнкеров , artiste : Александр Малинин Avec traduction

Paroles : Полк юнкеров "

Texte original avec traduction

Полк юнкеров

Александр Малинин

Оригинальный текст

Какая осень на дворе, закатом золотятся окна,

И купола церквей, как воздух в янтаре.

Какая осень на дворе.

Какая светлая печаль кладет на плечи волосы и руки.

А мы идем, лишь эхо улиц гулких.

Какая светлая печаль.

По спящему городу, молча ступая, мы шли,

Не полк юнкеров, а мягкий резиновый шар.

И лишь сапоги огалтело купались в пыли,

Волю дорог сменив на схемы казарм.

Но впервые трубач протрубил боевую тревогу,

А дальше был бой, словно свадьба со смертью.

И помню: лишь чмокала грязью дорога,

И нас оставалось не больше трети.

Какая светлая печаль кладет на плечи волосы и руки.

А нас уж нет, лишь эхо улиц гулких.

Какая светлая печаль.

Господа, суждено нам погибнуть,

Застегните до верхней кителя ваши потные,

Я прошу вас — ровнее спины,

Смерти смотрят в глаза, а не под ноги.

Господа юнкера, вам семнадцать, мне — тридцать пять,

Но замечу я вам, что, чем дальше, тем ниже и ниже.

Кто в минуту сомненья пред быдлом попятится вспять,

Тот от скуки по Родине сдохнет в бардачном Париже.

Какая осень на дворе, закатом золотятся окна,

И купола церквей, как воздух в янтаре.

Какая осень на дворе.

Какая женщина в окне, кого-то ждет, а, может, плачет.

Я не пойму никак, что это значит.

Какая женщина в окне… Какая женщина в окне…

Какая женщина в окне…

Перевод песни

Quel automne est dans la cour, les fenêtres sont dorées par le coucher du soleil,

Et les dômes des églises, comme l'air dans l'ambre.

Quel automne est dans la cour.

Quelle tristesse lumineuse met les cheveux et les mains sur les épaules.

Et nous allons, seul l'écho des rues en écho.

Quelle tristesse lumineuse.

A travers la ville endormie, marchant silencieusement, nous avons marché,

Pas un régiment de junkers, mais une balle en caoutchouc souple.

Et seules les bottes baignaient dans la poussière,

Remplacer la volonté des routes par des projets de casernes.

Mais pour la première fois le trompettiste sonna l'alarme de combat,

Et puis il y a eu une bagarre, comme un mariage avec la mort.

Et je me souviens : seule la route claquait de boue,

Et il ne restait plus qu'un tiers d'entre nous.

Quelle tristesse lumineuse met les cheveux et les mains sur les épaules.

Et nous ne sommes plus que l'écho des rues retentissantes.

Quelle tristesse lumineuse.

Seigneur, nous sommes destinés à mourir,

Boutonnez vos manteaux en sueur jusqu'au haut de votre veste,

Je vous demande - redressez votre dos,

La mort regarde dans les yeux, pas sous les pieds.

Lord Junker, vous avez dix-sept ans, j'en ai trente-cinq,

Mais je vous ferai remarquer que plus loin, plus bas et plus bas.

Qui, dans un moment de doute devant le bétail, reculera,

Il mourra d'ennui dans son pays natal dans un Paris maussade.

Quel automne est dans la cour, les fenêtres sont dorées par le coucher du soleil,

Et les dômes des églises, comme l'air dans l'ambre.

Quel automne est dans la cour.

Quel genre de femme est à la fenêtre, attendant quelqu'un, ou pleurant peut-être.

Je ne comprends pas ce que cela signifie.

Quelle femme à la fenêtre... Quelle femme à la fenêtre...

Quelle femme à la fenêtre...

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