Voici les paroles de la chanson : Театр , artiste : Александр Малинин Avec traduction
Texte original avec traduction
Александр Малинин
Я с бродячим театром езжу по дорогам,
Рваная кибитка, рваная страна.
Боже, как хотелось отдохнуть немного,
Но который год гражданская война.
Но который год гражданская война.
Все, что нажил, пропил, все, что пропил, нажил,
Ты вчера при деньгах, завтра ноги в гроб.
Ну, а что сегодня, кто мне точно скажет,
Хлеба четвертинка или пуля в лоб?
Припев:
Больно, как, Родина, больно,
Когда бьешь коркой хлеба по душе.
Но вольно, хоть бедно, но вольно,
И ангелы заждались нас уже.
Но вольно, хоть бедно, но вольно,
И ангелы заждались нас уже.
Дар мой одинокий, словно свечка Богу,
В духоте Отчизны тлеет сизый дым.
Мать моя мечтала, проводив в дорогу,
Что далекий город станет мне родным.
Но отшумели балы, и пусты бокалы,
Убивает принца не лоэрд, а СПИД,
На панель Джульетту загнала усталость,
И войну, как камень в гору, волочет Сизиф.
Припев:
Больно, как, Родина, больно,
Когда бьешь коркой хлеба по душе.
Но вольно, хоть бедно, но вольно,
И ангелы заждались нас уже.
Но вольно, хоть бедно, но вольно,
И ангелы заждались нас уже.
Проигрыш.
Я с бродячим театром езжу по дорогам,
Рваная кибитка, рваная страна.
Боже, как хотелось отдохнуть немного,
Но который год гражданская война.
Но который век гражданская война.
Je parcours les routes avec un théâtre ambulant,
Wagon déchiré, pays déchiré.
Dieu, comme je voulais me détendre un peu,
Mais quelle année est la guerre civile.
Mais quelle année est la guerre civile.
Tout ce que j'ai, j'ai bu, j'ai bu tout ce que j'ai bu, je l'ai eu,
Hier tu avais de l'argent, demain tes pieds dans le cercueil.
Eh bien, qu'en est-il aujourd'hui, qui peut me dire exactement
Un quart de pain ou une balle dans le front ?
Refrain:
Ça fait mal, comme, Patrie, ça fait mal,
Quand tu frappes ton âme avec une croûte de pain.
Mais librement, quoique mal, mais librement,
Et les anges nous attendaient déjà.
Mais librement, quoique mal, mais librement,
Et les anges nous attendaient déjà.
Mon cadeau solitaire, comme une bougie à Dieu,
La fumée grise couve dans l'étouffement de la Patrie.
Ma mère rêvait, s'en allant sur la route,
Qu'une ville lointaine deviendra ma maison.
Mais les balles se sont tues, et les verres sont vides,
Ce n'est pas Loerd qui tue le prince, c'est le SIDA,
La fatigue a poussé Juliette sur le panneau,
Et la guerre, comme une pierre vers le haut, est traînée par Sisyphe.
Refrain:
Ça fait mal, comme, Patrie, ça fait mal,
Quand tu frappes ton âme avec une croûte de pain.
Mais librement, quoique mal, mais librement,
Et les anges nous attendaient déjà.
Mais librement, quoique mal, mais librement,
Et les anges nous attendaient déjà.
Perdant.
Je parcours les routes avec un théâtre ambulant,
Wagon déchiré, pays déchiré.
Dieu, comme je voulais me détendre un peu,
Mais quelle année est la guerre civile.
Mais de quel siècle est la guerre civile.
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