Voici les paroles de la chanson : Till En Vildmarkspoet , artiste : Александр Рыбак Avec traduction
Texte original avec traduction
Александр Рыбак
Och snön föll vit i vinterskog
där räven stod på lur
för tystnaden i blånad vildmarkstrakt.
Här dröjde du vid kojans eld
och drömde om en vår
och skrev din sång och höll vid milan vakt.
Nu porlar den i vårens tid
din fors i milsvid skog!
Nu surrar den av bin din sommaräng!
Jag anar spår av kärva steg
som trötta spelmän tog
och rosors blod
i ton från sorgens sträng.
Än sjunger vinden vida,
när hösten brinner röd,
din sång om livets villkor,
om kamp för hem och bröd.
Nu porlar den i vårens tid
din fors i milsvid skog!
Nu surrar den av bin
din sommaräng!
Jag anar spår av kärva steg
som trötta spelmän tog
och rosors blod
i ton från sorgens sträng.
Du vandrare, du speleman,
du kung i tiggardräkt,
du brann i natten fylld av köld och is.
Den eld som brann den värmer än,
din saga och din dikt
om evig sol och sommarparadis.
Nu porlar den i vårens tid
din fors i milsvid skog!
Nu surrar den av bin din sommaräng!
Jag anar spår av kärva steg
som trötta spelmän tog
och rosors blod
i ton från sorgens sträng.
Än sjunger vinden vida,
när hösten brinner röd,
din sång om livets villkor,
om kamp för hem och bröd.
Nu porlar den i vårens tid
din fors i milsvid skog!
Nu surrar den av bin
din sommaräng!
Jag anar spår av kärva steg
som trötta spelmän tog
och rosors blod
i ton från sorgens sträng.
The snow fell white in Winter´s woods
where foxes stood on guard,
in silence in the timber-cutters gash
In patient watch you also stood,
as charcoal slowly charred,
composing verse while embers turned to ash.
Loud ripples from the river-bed.
The forest stretches wide.
The busy bees are buzzing now it´s Spring.
I sense the sound of heavy tread
as tired fiddlers stride,
and roses bleed in tune with sorrow´s strings.
The wild winds sing their sombre tones
when Autumn turns to red.
The song of tribulation,
the fight for daily bread.
Loud ripples from the river-bed.
The forest stretches wide,
The busy bees are buzzing now it´s Spring.
I sense the sound of heavy tread
as tired fiddlers stride,
and roses bleed in tune with sorrow´s strings.
A wanderer, a minstrel man,
a king, though clad in rags.
A charcoal burner, midst the snow and ice.
The flame you lit still spreads your heat
in stories and in verse
on sunlight in a Summer paradise.
Loud ripples from the river-bed.
The forest stretches wide.
The busy bees are buzzing now it´s Spring.
I sense the sound of heavy tread
as tired fiddlers stride,
and roses bleed in tune with sorrow´s strings.
The wild winds sing their sombre tones
when Autumn turns to red.
The song of tribulation,
the fight for daily bread.
Loud ripples from the river-bed.
The forest stretches wide,
The busy bees are buzzing now it´s Spring.
I sense the sound of heavy tread
as tired fiddlers stride,
and roses bleed in tune with sorrow´s strings.
Et la neige est tombée blanche dans la forêt d'hiver
où le renard rôdait
pour le silence dans la zone sauvage bleue.
Ici tu t'attardais au feu de la hutte
et rêvé d'un printemps
et a écrit votre chanson et gardé à la garde de milan.
Maintenant ça bouillonne au printemps
tes rapides dans des kilomètres de forêt !
Maintenant ça bourdonne d'abeilles ta prairie d'été !
Je sens des traces de pas durs
que les violoneux fatigués ont pris
et le sang des roses
dans le ton de la chaîne de la douleur.
Le vent chante encore loin,
quand l'automne brûle rouge,
ta chanson sur les conditions de vie,
sur la lutte pour la maison et le pain.
Maintenant ça bouillonne au printemps
tes rapides dans des kilomètres de forêt !
Maintenant il bourdonne d'abeilles
ta prairie d'été !
Je sens des traces de pas durs
que les violoneux fatigués ont pris
et le sang des roses
dans le ton de la chaîne de la douleur.
Toi marcheur, toi violoneux,
vous roi en costume de mendiant,
tu as brûlé dans la nuit remplie de froid et de glace.
Le feu qui l'a brûlé chauffe encore,
ton conte de fées et ton poème
sur le soleil éternel et le paradis estival.
Maintenant ça bouillonne au printemps
tes rapides dans des kilomètres de forêt !
Maintenant ça bourdonne d'abeilles ta prairie d'été !
Je sens des traces de pas durs
que les violoneux fatigués ont pris
et le sang des roses
dans le ton de la chaîne de la douleur.
Le vent chante encore loin,
quand l'automne brûle rouge,
ta chanson sur les conditions de vie,
sur la lutte pour la maison et le pain.
Maintenant ça bouillonne au printemps
tes rapides dans des kilomètres de forêt !
Maintenant il bourdonne d'abeilles
ta prairie d'été !
Je sens des traces de pas durs
que les violoneux fatigués ont pris
et le sang des roses
dans le ton de la chaîne de la douleur.
La neige est tombée blanche dans les bois d'hiver
où les renards montaient la garde,
en silence dans l'entaille des bûcherons
Dans une patiente garde, tu t'es aussi tenu debout,
comme le charbon de bois lentement carbonisé,
composant des vers tandis que les braises se transformaient en cendres.
Fortes ondulations du lit de la rivière.
La forêt s'étend largement.
Les abeilles occupées bourdonnent maintenant c'est le printemps.
Je sens le bruit d'un pas lourd
comme les violoneux fatigués marchent,
et les roses saignent en harmonie avec les cordes du chagrin.
Les vents sauvages chantent leurs tons sombres
quand l'automne vire au rouge.
Le chant de la tribulation,
la lutte pour le pain quotidien.
Fortes ondulations du lit de la rivière.
La forêt s'étend largement,
Les abeilles occupées bourdonnent maintenant c'est le printemps.
Je sens le bruit d'un pas lourd
comme les violoneux fatigués marchent,
et les roses saignent en harmonie avec les cordes du chagrin.
Un vagabond, un ménestrel,
un roi, quoique vêtu de haillons.
Un charbonnier, au milieu de la neige et de la glace.
La flamme que tu as allumée répand encore ta chaleur
en contes et en vers
sur la lumière du soleil dans un paradis d'été.
Fortes ondulations du lit de la rivière.
La forêt s'étend largement.
Les abeilles occupées bourdonnent maintenant c'est le printemps.
Je sens le bruit d'un pas lourd
comme les violoneux fatigués marchent,
et les roses saignent en harmonie avec les cordes du chagrin.
Les vents sauvages chantent leurs tons sombres
quand l'automne vire au rouge.
Le chant de la tribulation,
la lutte pour le pain quotidien.
Fortes ondulations du lit de la rivière.
La forêt s'étend largement,
Les abeilles occupées bourdonnent maintenant c'est le printemps.
Je sens le bruit d'un pas lourd
comme les violoneux fatigués marchent,
et les roses saignent en harmonie avec les cordes du chagrin.
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