Voici les paroles de la chanson : El Bulín de la Calle Ayacucho , artiste : Anibal Troilo, Fiorentino Avec traduction
Texte original avec traduction
Anibal Troilo, Fiorentino
El bulin de la calle Ayacucho
que en mis tiempos de rana alquilaba,
el bulin que la barra buscaba
para caer por la noche a timbear;
el bulin donde tantos muchachos
en su racha de vida fulera
encontraron marroco y catrera,
rechiflado parece llorar.
El «primus"no me fallaba
con su carga de agua ardiente
y habiendo agua caliente
el mate era alli señor;
no faltaba la guitarra
bien encordada y lustrosa
ni el bacan de voz gangosa
con berretin de cantor.
Cotorrito mistongo tirado
en el fondo de aquel conventillo,
sin alfombras, sin lujo y sin brillo,
cuantos dias felices pase
al calor del querer de una piba
que fue mia, mimosa y sincera,
y una noche de invierno y fulera
en un vuelo, hacia el cielo se fue.
cada cosa era un recuerdo
que la vida me anargaba,
por eso me la pasaba
cabrero, rante y triston;
los muchachos se cortaron
al verme tan afligido,
y yo me quede en el nido
empollando mi aflicción.
El bulin de la calle Ayacucho
ha quedado mistongo y fulero,
ya no se oye al cantor milonguero
engrupido su musa entonar;
y en el «primus"no bulle la pava
que a la barra contenta reunia,
y el bacan de la rante alegria
esta seco de tanto llorar.
Le bulin de la rue Ayacucho
que dans mes jours de grenouille je louais,
le bulin que le bar cherchait
tomber la nuit à timbear;
le bulin où tant de garçons
dans sa séquence de vie fulera
ils trouvèrent maroc et catrera,
sifflé semble pleurer.
Le "primus" ne m'a pas manqué
avec sa charge d'eau ardente
et avoir de l'eau chaude
le second était là monsieur;
la guitare ne manquait pas
bien ficelé et brillant
ni le baccan à la voix nasillarde
avec un berretin de chanteur
Perroquet Mistongo couché
au fond de cet immeuble,
sans tapis, sans luxe et sans éclat,
combien de jours heureux sont passés
à la chaleur de l'amour d'une fille
c'était le mien, câlin et sincère,
et une nuit d'hiver et fulera
dans un vol, vers le ciel il est parti.
tout était un souvenir
que la vie m'agaçait,
c'est pourquoi je l'ai dépensé
chevrier, rante et triston;
les garçons se coupent
Me voyant si affligé,
et je suis resté dans le nid
couvant mon affliction.
Le bulin de la rue Ayacucho
il est resté mistongo et fulero,
tu n'entends plus le chanteur de milonguero
englouti sa muse pour chanter;
et dans le "primus" la bouilloire ne bout pas
que le joyeux bar réunissait,
et la joie bacchanale
Il est sec d'avoir tant pleuré.
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