Не верь мужикам - Billy's Band
С переводом

Не верь мужикам - Billy's Band

  • Année de sortie: 2005
  • Langue: russe
  • Durée: 3:16

Voici les paroles de la chanson : Не верь мужикам , artiste : Billy's Band Avec traduction

Paroles : Не верь мужикам "

Texte original avec traduction

Не верь мужикам

Billy's Band

Оригинальный текст

Это случилось в центре, на улице Роз

Осенней темной ночью, я был полон слез,

Я бродил по тротуарам, пугаясь собственной тени,

И я курил как дизель, и дрожали колени…

Мои шаги были реквиемом, мой голос воем,

Я знал, что все это будет, но не знал, что так скоро,

И я совсем не хотел возвращаться домой

И напоил двух проституток с Малой Морской…

Когда я увидил лицо одной из них в отражениии зеркала гардероба,

Эти глаза белые, зрачки — точки, в голосе — тревога,

Мне показалось, то ли померещилось, ничего не понимаю,

Она сказала: «Я тоже не знаю, откуда тебя знаю…»

Мы долго сидели в баре, «красотки» пили джин,

На нас уже косился непонятный господин,

Так, болтали ни о чем, да и не болтали особенно, но все же

И, невзначай, узнал от них я случай один (о, Боже…)

Была у них подруга по имени Кристель…

(Имя, конечно, странное, как у булочки, с темной улочки),

Какой-то странный миллионер поселил ее в отель,

Кувыркаясь в лимузине и утопая в кокаине,

К утру сменила стоптанные туфли на Балдинини.

Она умирала от любви, просто дохла от счастья,

А в золотистых облаках таилось ненастье,

«Это мой принц!!!" — кричала она,

«Тот единственный, которого я столько ждала!!!»

Ее обнаружили мертвой в одном из номеров,

Лежащей в луже крови, в колыбели из ковров,

И на надгробье глаза ее и век не устанут

Кричать: «Не верь мужикам, все равно обманут!»

Перевод песни

C'est arrivé au centre, sur Rose Street

Par une sombre nuit d'automne, j'étais plein de larmes,

J'ai erré sur les trottoirs effrayé par ma propre ombre

Et je fumais comme un diesel, et mes genoux tremblaient...

Mes pas étaient un requiem, ma voix était un hurlement

Je savais que tout cela arriverait, mais je ne savais pas que si tôt,

Et je ne voulais pas du tout rentrer à la maison

Et il a fait boire deux prostituées de Malaya Morskaya...

Quand j'ai vu le visage de l'un d'eux dans le reflet du miroir de l'armoire,

Ces yeux sont blancs, les pupilles sont des points, il y a de l'anxiété dans la voix,

Il me semblait que j'imaginais, je ne comprends rien,

Elle a dit : "Je ne sais pas comment je te connais non plus..."

Nous nous sommes assis longtemps au bar, les "belles" ont bu du gin,

Un monsieur incompréhensible nous regardait déjà de travers,

Alors, ils ont bavardé pour rien, et pas spécialement bavardé, mais quand même

Et, par hasard, j'ai appris d'eux un cas (oh, mon Dieu ...)

Ils avaient une amie qui s'appelait Christelle...

(Le nom, bien sûr, est étrange, comme un chignon d'une rue sombre),

Un étrange millionnaire l'a hébergée dans un hôtel

Tomber dans une limousine et se noyer dans la cocaïne

Au matin, elle a changé ses chaussures usées pour Baldinini.

Elle mourait d'amour, elle vient de mourir de bonheur,

Et dans les nuages ​​dorés se cachait le mauvais temps,

"C'est mon prince !!!" cria-t-elle,

"Celui que j'attendais depuis si longtemps !!!"

Elle a été retrouvée morte dans l'une des chambres,

Couché dans une mare de sang, dans un berceau de tapis,

Et sur la pierre tombale ses yeux et ses paupières ne se fatigueront pas

Criant : "Ne faites pas confiance aux paysans, ils vous tromperont de toute façon !"

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