The Whistle - Blackout Beach

I heard the day of our night shall start with the setting of the sun

And the hardship of labour shall for three blessed hours be undone

I walk into the gossip

Fulfil my needs

Eat to satiate that which has flown

Rub my dirty fingers upon the denim that shall one day be cashmere,

and find the cash for the phone

Call Donna to say I’m tired

Call her every night

Beaches sound the same over the phone

Just a lot of laughter and sunlight and William (her boyfriend) feeling her up

So tacky

So she groans

So I laugh;

an old friend, but fucking William!

I want to crack his neck and perform one million castrations with his bones

No I won’t no I won’t no I won’t

I shall descend into my bunk

And wonder

And wonder at the cold

And wonder that anything has ever happened before this date to make me feel

uncold

I remember my youth: seeing some great 'scape, some sinless plot of Dawn’s nape

Some stretch of white dawn lit tip or cape

Or horn or frosty bit of land’s last head of state

Seeing myself bundled

Some blind youth thinking that all land could just be surveyed

And not, you know, dug up:

Sure Donna you can borrow 200 bucks

Reagan sucks

The weather sucks

The blasted cold curls my hand

The quarters are hell to hold

The quarters are hell to hold

I want to talk to you now

I want to tell you that William is the whore

William is the whore!

The simpering beast in a cage

The bastard drunk in the rage

The blasted heath on the page

The fucking whimper from some sage pretty boy from outside of the city,

but close enough to know, man, that city girls are the only way to lose

yourself in darkness, man!

William, you’re going to be losing yourself in darkness before the fourth wind

arrives

William, you’re going to be losing yourself in darkness before the fourth wind

arrives

J'ai entendu dire que le jour de notre nuit commencerait avec le coucher du soleil

Et la pénibilité du travail sera défait pendant trois heures bénies

J'entre dans les commérages

Répondre à mes besoins

Mangez pour rassasier ce qui s'est envolé

Frottez mes doigts sales sur le denim qui sera un jour du cachemire,

et trouver l'argent pour le téléphone

Appeler Donna pour lui dire que je suis fatigué

Appelez-la tous les soirs

Les plages ont le même son au téléphone

Juste beaucoup de rires et de soleil et William (son petit ami) la sentant

Tellement collant

Alors elle gémit

Alors je ris ;

un vieil ami, mais putain de William !

Je veux lui casser le cou et faire un million de castrations avec ses os

Non je ne le ferai pas non je ne le ferai pas non je ne le ferai pas

Je vais descendre dans ma couchette

Et me demander

Et s'émerveiller du froid

Et je me demande si quelque chose s'est déjà produit avant cette date pour me faire sentir

froid

Je me souviens de ma jeunesse : j'ai vu un grand paysage, un complot sans péché de la nuque de Dawn

Une partie de la pointe ou de la cape éclairée par l'aube blanche

Ou le dernier chef d'État de la corne ou du bout de terre glacial

Me voyant emmitouflé

Certains jeunes aveugles pensant que toutes les terres pourraient simplement être arpentées

Et pas, vous savez, déterré:

Bien sûr, Donna, tu peux emprunter 200 dollars

Reagan suce

Le temps est nul

Le froid foudroyé boucle ma main

Les quartiers sont un enfer à tenir

Les quartiers sont un enfer à tenir

Je veux vous parler maintenant

Je veux te dire que William est la putain

William est la putain !

La bête minaudante dans une cage

Le bâtard ivre de rage

La foutue bruyère sur la page

Le putain de gémissement d'un joli garçon sage de l'extérieur de la ville,

mais assez proche pour savoir, mec, que les filles de la ville sont le seul moyen de perdre

toi-même dans les ténèbres, mec !

William, tu vas te perdre dans les ténèbres avant le quatrième vent

arrive

William, tu vas te perdre dans les ténèbres avant le quatrième vent

arrive