Slayer Of Gods - Brymir
С переводом

Slayer Of Gods - Brymir

Альбом
Slayer Of Gods
Год
2016
Язык
`Anglais`
Длительность
519220

Voici les paroles de la chanson : Slayer Of Gods , artiste : Brymir Avec traduction

Paroles : Slayer Of Gods "

Texte original avec traduction

Slayer Of Gods

Brymir

Оригинальный текст

And so blood poured out of wrath

Despair and doubt now left to die

The night cursed the sun

Restraints of fury undone

Left alone, in silence untold

Left beheaded my statues and thrones

Rain driving the needles of fate

My hands, unveiled, remain unseen

I cover the skies, I sharpen my hate

I close my eyes and face the storm beyond

Beyond the crimson dawn

The flames reveal far away the stars

One thing you shall know:

The silences conquers all

Reborn in wrath

Without a war

Forsaken path

A man no more

I gaze upon the void

A murdered world, a tainted soil

I am beast: The slayer of Gods

Yet why do I feel this pain?

I wish not to see, and never to feel

But in freedom run through the landscapes

To serve nothing!

But this hate, has it

All but consumed me in vain?

In vain do whispers call?

Screaming silence in the dark!

The starlight turned skies ablaze like the sun!

It burns through my heart…

Facing, proud, the storm

Through the pain, I saw:

The silence conquers all!

And so I fall…

Beyond even the stars, in a far more distant horizon

Where even a whisper is louder than thunder

I viewed an invincible tyrant

In a madness of drums in unfathomable depths

I caress’d that fiery emptiness

I held it in my fist

And I was not humbled

My soul… found it’s way home!

Beyond the vast distance, I heard the stars

Bound by these chains of man

A beast I am…

No… No…

No more!

«I see all the worlds we’ve undone

And my hands, futile, tried to grasp something tangible…»

Godsend…

Awaken to our void…

Alone!

A world of bones, where blind men dwell

Flames feast on the sheen of a wishing well

Moments of kings, of tyrants of hell

A dead man whose tales I tell

So to the crows I yield my flesh

My spirit torn in pains worse than death

The bells, the bells, the bells;

they groan…

I atone and accept there is only despair

Перевод песни

Et ainsi le sang coula de la colère

Le désespoir et le doute sont maintenant laissés pour morts

La nuit a maudit le soleil

Retenues de fureur défaites

Laissé seul, dans un silence indescriptible

A laissé décapité mes statues et mes trônes

La pluie conduit les aiguilles du destin

Mes mains, dévoilées, restent invisibles

Je couvre les cieux, j'aiguise ma haine

Je ferme les yeux et fais face à la tempête au-delà

Au-delà de l'aube cramoisie

Les flammes révèlent au loin les étoiles

Une chose que vous saurez :

Les silences conquièrent tout

Renaître dans la colère

Sans guerre

Chemin abandonné

Un homme pas plus

Je regarde le vide

Un monde assassiné, un sol souillé

Je suis la bête : le tueur de dieux

Mais pourquoi est-ce que je ressens cette douleur ?

Je ne souhaite pas voir et ne jamais ressentir

Mais en liberté courir à travers les paysages

Pour ne rien servir !

Mais cette haine, l'a

Tout sauf m'a-t-il consommé en vain ?

En vain les chuchotements appellent-ils ?

Silence hurlant dans le noir !

La lumière des étoiles a embrasé le ciel comme le soleil !

Cela me brûle le cœur…

Face, fier, à la tempête

À travers la douleur, j'ai vu :

Le silence vainc tout !

Et donc je tombe...

Au-delà même des étoiles, dans un horizon bien plus lointain

Où même un murmure est plus fort que le tonnerre

J'ai vu un tyran invincible

Dans une folie de tambours dans des profondeurs insondables

J'ai caressé ce vide ardent

Je l'ai tenu dans mon poing

Et je n'ai pas été humilié

Mon âme... a trouvé le chemin du retour !

Au-delà de la vaste distance, j'ai entendu les étoiles

Lié par ces chaînes d'homme

Je suis une bête...

Non non…

Pas plus!

"Je vois tous les mondes que nous avons défaits

Et mes mains, futiles, essayaient de saisir quelque chose de tangible… »

Don du ciel…

Éveillez-vous à notre vide…

Seule!

Un monde d'ossements, où habitent des aveugles

Les flammes se régalent de l'éclat d'un puits à souhaits

Moments de rois, de tyrans de l'enfer

Un homme mort dont je raconte les histoires

Alors aux corbeaux je cède ma chair

Mon esprit déchiré dans des douleurs pires que la mort

Les cloches, les cloches, les cloches ;

ils grognent…

J'expie et j'accepte qu'il n'y ait que du désespoir

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