Born in the Month of Darkness - COPILOT Music + Sound
С переводом

Born in the Month of Darkness - COPILOT Music + Sound

  • Année de sortie: 2020
  • Langue: Anglais
  • Durée: 3:42

Voici les paroles de la chanson : Born in the Month of Darkness , artiste : COPILOT Music + Sound Avec traduction

Paroles : Born in the Month of Darkness "

Texte original avec traduction

Born in the Month of Darkness

COPILOT Music + Sound

Оригинальный текст

Before the Great Burning, before the wars

A time of nothing, but hills and shores

The smoke of cities, and fields of rye

No eyes or voices beyond the sky

Believers roamed from town to town

They spied every baby born, up and down

Scouring the land for a child to use

And ponderous, esoteric clues

A crumbling black city, an outcast found

Father a monster, mother under the ground

A beggar, a mongrel, a boy with no shoes

He fell to their hands to cage and abuse

And lo!

in the month of darkness

And lo!

his name destroyed

And lo!

he still whispers in silence

And lo!

he went into the void

They were drawn to a light, a waning gray

His face was blank he had nothing to say

He watched and waited, they painted his eyes

They colored his clothing with pigments and dyes

They found a path away from the light

To an ancient tree withered by blight

A sacred altar, encircled in stones

Twin blades of bronze, sharpened on bones

And lo!

in the month of darkness

And lo!

his name destroyed

And lo!

he still whispers in silence

And lo!

he went into the void

In the Month of Darkness, seasons destroyed

A ritual killing bound his spirit to the Void

Eyes drained of color, the beggar no more

To become what the Believers waited for

They set him outside, beyond the spheres

Quiet as the night, long like the years

He opened his eyes, as black as a dream

Trying to speak, his only words a scream

And lo!

in the month of darkness

And lo!

his name destroyed

And lo!

he still whispers in silence

And lo!

he went into the void

Перевод песни

Avant le Grand Incendie, avant les guerres

Un temps de rien, mais des collines et des rivages

La fumée des villes et des champs de seigle

Pas d'yeux ni de voix au-delà du ciel

Les croyants erraient de ville en ville

Ils ont espionné chaque bébé né, de haut en bas

Récurer la terre pour qu'un enfant l'utilise

Et de lourds indices ésotériques

Une ville noire en ruine, un paria retrouvé

Père un monstre, mère sous terre

Un mendiant, un bâtard, un garçon sans chaussures

Il est tombé entre leurs mains pour être mis en cage et maltraité

Et voilà !

au mois des ténèbres

Et voilà !

son nom détruit

Et voilà !

il chuchote encore en silence

Et voilà !

il est allé dans le vide

Ils ont été attirés par une lumière, un gris décroissant

Son visage était vide, il n'avait rien à dire

Il a regardé et attendu, ils ont peint ses yeux

Ils ont coloré ses vêtements avec des pigments et des teintures

Ils ont trouvé un chemin loin de la lumière

À un vieil arbre flétri par la brûlure

Un autel sacré, entouré de pierres

Lames jumelles de bronze, aiguisées sur des os

Et voilà !

au mois des ténèbres

Et voilà !

son nom détruit

Et voilà !

il chuchote encore en silence

Et voilà !

il est allé dans le vide

Au cours du mois des ténèbres, les saisons ont été détruites

Un meurtre rituel a lié son esprit au Vide

Yeux vidés de couleur, le mendiant n'est plus

Devenir ce que les Croyants attendaient

Ils l'ont placé dehors, au-delà des sphères

Silencieux comme la nuit, long comme les années

Il a ouvert les yeux, aussi noirs qu'un rêve

Essayant de parler, ses seuls mots sont un cri

Et voilà !

au mois des ténèbres

Et voilà !

son nom détruit

Et voilà !

il chuchote encore en silence

Et voilà !

il est allé dans le vide

Plus de 2 millions de paroles

Chansons en différentes langues

Traductions

Traductions de haute qualité dans toutes les langues

Recherche rapide

Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes