Molly And Johnny - Dervish

Said Johnny to Molly, «I am now going to leave you

But do not be grieved at my going away

For the more we are parted, we’ll always be true-hearted

And again I’ll return in the sweet month of May»

Said Molly to Johnny, «Oh I will mourn for you

And I will be grieved at your going away

For you know very well that your absence does grieve me

I’m afraid you might die in a strange country

I’ll dress myself up like a neat little sea boy

Amidst all life’s dangers I will stand your friend

Through the winds that lie low, to high winds are a-blowing

My dear, I’ll be with you to plow the rough main"

«Your delicate fingers our ropes could not handle

Your lily-white feet, love, our decks could not stand

The cold nights of winter you ne’er could endure them

So stay at home, darling, to the seas do not go»

Her two little arms, 'round his neck she entwined them

The clear crystal tears from her eyes down did flow

And her lily-white hands on the decks she kept wringing

Crying, «Oh my beloved will I never see you more?»

So come, all ye fair maids that’s inclined to marry

Never place your affection too much on one man

For first he will court you and then he’ll deceive you

He’ll leave you as I was left to mourn when he’s gone

Dit Johnny à Molly, " Je vais maintenant vous laisser

Mais ne sois pas affligé de mon départ

Car plus nous sommes séparés, plus nous serons sincères

Et encore une fois, je reviendrai dans le doux mois de mai »

Dit Molly à Johnny, "Oh je vais pleurer pour toi

Et je serai attristé de ton départ

Car tu sais très bien que ton absence me chagrine

J'ai peur que tu meures dans un pays étranger

Je vais m'habiller comme un petit garçon de la mer soigné

Au milieu de tous les dangers de la vie, je soutiendrai ton ami

A travers les vents bas, les vents forts soufflent

Ma chère, je serai avec toi pour labourer le gros dur"

"Tes doigts délicats nos cordes ne pourraient pas supporter

Tes pieds blancs de lys, mon amour, nos ponts ne pourraient pas supporter

Les nuits froides de l'hiver, tu ne pourrais jamais les endurer

Alors reste à la maison, chérie, à la mer ne va pas »

Ses deux petits bras, autour de son cou, elle les a enlacés

Les larmes de cristal clair de ses yeux ont coulé

Et ses mains blanches de lis sur les ponts qu'elle n'arrêtait pas de tordre

Pleurant, "Oh mon bien-aimé, ne te verrai-je plus jamais ?"

Alors venez, vous toutes les belles filles qui sont enclines à se marier

Ne placez jamais trop votre affection sur un seul homme

Car d'abord il te courtisera et ensuite il te trompera

Il te quittera comme j'ai dû pleurer quand il est parti