Violent Psalms - Frog Eyes

Silhouettes, dreaded swamps, oil baths from the factory lake,

I am dreaming of a painting from the spring of my mind,

I have defined the lines and now I shake.

Wretched palms, violent psalms, violet fades from the cheek of my babe,

I shall cover you and swaddle you in Eden’s last light,

I shall hope for the end of dark, dark days.

Betty’s bones, Betty’s vultures of love,

Are circling upon her not yet forsaken face,

It is darkness that hurts her, the dark lord is a hurter,

Hurting even the waves that lap at the shore of the silver bay.

Silhouettes, dance depressed, I am

The shadow of the neighbour that stares

Into the curtains of pain, the light frothing crazy behind his brain,

Curdling and dancing to his master’s off-brain,

Paul is alive, Paul is alive!

Open the fort!

It’s on and on, and on and on.

The Great Debaser.

Silhouettes, marécages redoutés, bains d'huile du lac de l'usine,

Je rêve d'un tableau qui sort de la source de mon esprit,

J'ai défini les lignes et maintenant je tremble.

Paumes misérables, psaumes violents, la violette se fane de la joue de mon bébé,

Je te couvrirai et t'emmailloterai dans la dernière lumière d'Eden,

J'espère la fin des jours sombres et sombres.

Les os de Betty, les vautours d'amour de Betty,

Tournent sur son visage pas encore abandonné,

Ce sont les ténèbres qui la blessent, le seigneur des ténèbres est un blesseur,

Blessant même les vagues qui déferlent sur le rivage de la baie d'argent.

Silhouettes, danse déprimé, je suis

L'ombre du voisin qui regarde

Dans les rideaux de la douleur, la lumière bouillonnant follement derrière son cerveau,

Cailler et danser sur l'insensé de son maître,

Paul est vivant, Paul est vivant !

Ouvrez le fort !

C'est encore et encore, et encore et encore.

Le Grand Debaser.