Voici les paroles de la chanson : A Vespertine Legacy , artiste : Hell Avec traduction
Texte original avec traduction
Hell
«Prietene, nu te du acolo — este sălaşul păsării morții…»
Eastern bound to far Carpathia, how the rain it stings my skin
Brandy’s fire and thoughts of hometown fail to quell unrest within
Mile on mile the coach wheels clatter, destination looms in sight
Orlok’s castle ramparts tower through the blackened veil of night
Soft, in the stark lit dreaming dark, the nightmare comes to me
The curse to begin, blood anointing the skin, with the kiss of infinity
Heart’s race, pulse chase — the price of greed is my humanity
My lost mortality
From the vein, life’s source behold
Welcome, death — let life unfold
Mortified, have I become a victim of this barren place?
Rank and stale, my heart hangs heavy, severed from love’s embrace
Iron-bound caskets fall around me, kill what hope that I have left
Thus revealed before me lies The Bird of Death…
I stand alone in the gloom of the undead’s tomb, my dread is quickening
Here as I seek where the sleepless creep, in the silence sickening
If I wait — too late!
I must return — fate is calling me
My fear is stalling me
From the vein, let blood be drawn
Welcome child of bloodless spawn
What is this God forsaken thing which walks among us?
And in silence of her room, a silent stranger stands in thrall
Fatal the dart of the pure in heart — the face of destiny
By fickle fate beguiled, as thrice on thrice unheeded cockerel calls
The kiss to begin, blood anointing the skin with the curse of infinity
The light consumes his flesh, binding life and death as one…
«Prietene, nu te du acolo — este sălaşul păsării morții…»
Vers l'est jusqu'aux lointaines Carpathes, comment la pluie me pique la peau
Le feu de Brandy et les pensées de sa ville natale ne parviennent pas à apaiser les troubles à l'intérieur
Mile après kilomètre, les roues de l'autocar claquent, la destination se profile à l'horizon
Les remparts du château d'Orlok dominent le voile noirci de la nuit
Doux, dans l'obscurité du rêve illuminé, le cauchemar vient à moi
La malédiction pour commencer, le sang oignant la peau, avec le baiser de l'infini
Course du cœur, chasse au pouls - le prix de la cupidité est mon humanité
Ma mortalité perdue
De la veine, voici la source de la vie
Bienvenue, mort : laissez la vie se dérouler
Mortifié, suis-je devenu victime de ce lieu aride ?
Rang et rassis, mon cœur est lourd, séparé de l'étreinte de l'amour
Des cercueils en fer tombent autour de moi, tuent l'espoir qu'il me reste
Ainsi révélé devant moi se trouve L'Oiseau de la Mort...
Je me tiens seul dans l'obscurité de la tombe des morts-vivants, ma peur s'accélère
Ici, alors que je cherche où l'insomnie se glisse, dans le silence écœurant
Si j'attends, trop tard !
Je dois revenir - le destin m'appelle
Ma peur me bloque
De la veine, laissez le sang être prélevé
Bienvenue enfant de la ponte sans effusion de sang
Quelle est cette chose abandonnée de Dieu qui marche parmi nous ?
Et dans le silence de sa chambre, un étranger silencieux se tient sous l'emprise
Fatal le dard du cœur pur - le visage du destin
Par le destin capricieux séduit, comme trois fois sur trois appels de coq ignorés
Le baiser pour commencer, le sang oignant la peau avec la malédiction de l'infini
La lumière consume sa chair, liant la vie et la mort comme une seule...
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes