The Last Time I Saw Adrianne - Henry Jamison

Oh the last time I saw Adrianne, she sang about the seasons

And what I can’t seem to do, she can

The Eternal’s moving in her hands

And I knew her singing signaled Spring

And whirring my heart pounds

For all the want and doubt are now upon me

And I hear it in the sounds

Of all the rain and all the baseball games

That it rains out

In the garden by the blooming trees

Ants swarm the peonies

And I took a look at Lolo’s knees, as she sneezed up at the sun

And I thought her sneezing signaled — something, I don’t know

For all the want and doubt are not behind me

Though I blamed it on the snow

Is it all the sweetness of the bacchanals that I’ll never know?

And I look outside, at the storm forming o’er the lake

I could not hide, even in this wallpaper shirt

Is it all the sweetness?

Is it all the sweetness?

And whirring my heart pounds

Oh la dernière fois que j'ai vu Adrianne, elle a chanté les saisons

Et ce que je n'arrive pas à faire, elle le peut

L'Éternel bouge dans ses mains

Et je savais que son chant signalait le printemps

Et vrombissant mon cœur bat la chamade

Car tous les désirs et les doutes sont maintenant sur moi

Et je l'entends dans les sons

De toute la pluie et de tous les matchs de baseball

Qu'il pleut

Dans le jardin près des arbres en fleurs

Les fourmis envahissent les pivoines

Et j'ai jeté un coup d'œil aux genoux de Lolo, alors qu'elle éternuait au soleil

Et je pensais que ses éternuements signalaient - quelque chose, je ne sais pas

Car tous les désirs et les doutes ne sont pas derrière moi

Bien que je le blâme sur la neige

Est-ce toute la douceur des bacchanales que je ne connaîtrai jamais ?

Et je regarde dehors, la tempête qui se forme sur le lac

Je ne pouvais pas me cacher, même dans cette chemise en papier peint

Est-ce toute la douceur ?

Est-ce toute la douceur ?

Et vrombissant mon cœur bat la chamade