Blood of the Forgotten Song - Joe Henry

We talked the sun down

From off its high ledge

And it left us alone in the dark-

Feeling our way

By the thread of our veins

That speak of our quickening hearts

The days fall and break like promises made

By those that claim never to change

But lives are made whole from the ones come undone at our feet that we rearrange

By morning there will be smoke in this room and shouts in the street before long

Our future writ out on the walls of the past in the blood of the forgotten song

Delores stands tall

At her father’s arm

His hand disappeared at her side

Their faces opposed

Like jacks on a card

In a picture when she was a bride;

And love but a ghost rode up from the shore where dreams run away with the sea

And leave us to fade in the heat of a shade moving slowly as your eyes to me

Oh how can you tell me

What you’ve come to know

Oh how will I ever shake free

Of what I’ve assumed

From the shape of these rooms

About all that we ever might be?

There’s nothing divine in the marking of time for it slips every frame we intend

A river above us, it laughs at and loves us, confusing our beginnings and ends

Nous avons parlé du coucher du soleil

Du haut de sa corniche

Et ça nous a laissés seuls dans le noir-

Sentant notre chemin

Par le fil de nos veines

Qui parlent de nos cœurs qui s'accélèrent

Les jours tombent et se brisent comme des promesses faites

Par ceux qui prétendent ne jamais changer

Mais les vies sont réparées à partir de celles qui se défait à nos pieds que nous réarrangeons

Au matin, il y aura de la fumée dans cette pièce et des cris dans la rue avant longtemps

Notre avenir écrit sur les murs du passé dans le sang de la chanson oubliée

Dolores se tient debout

Au bras de son père

Sa main a disparu à ses côtés

Leurs visages opposés

Comme des valets sur une carte

Dans une photo quand elle était mariée ;

Et l'amour mais un fantôme est monté du rivage où les rêves s'enfuient avec la mer

Et laissez-nous disparaître dans la chaleur d'une ombre se déplaçant lentement alors que vos yeux me regardent

Oh comment peux-tu me dire

Ce que vous venez de savoir

Oh comment vais-je jamais me libérer

De ce que j'ai supposé

De la forme de ces pièces

À propos de tout ce que nous pourrions être ?

Il n'y a rien de divin dans le marquage du temps car il glisse chaque image que nous avons l'intention

Une rivière au-dessus de nous, elle se moque de nous et nous aime, confondant nos débuts et nos fins