Ode to Mortality - Jonwayne

«I will soon start to read poetry

Uh… might as well start about now»

If my lungs can withstand these filth icicles

The angels dust across the land of false prophets

Maybe I clutch my poetry tighter

Just to feel like these walls are still listening to drama

Don’t bother the carpenter, there soon he plays harbinger

He couldn’t shake the moccasin a moniker

They only know him from watching upon their monitor

Maybe they’ll cop a feel of a feeling from brain opera

Life is an homage to death

These cousins never kissed, nor laid in the bed to rest

I sketch breath with sharp and broken pencils

The message is permanent, it’s been etched into the mental

«What do you think about the stars in the sky?»

I’ll be seeing them soon

«…in the, in the sky?»

«It's okay, I guess»

My skin is drenched in shadows

But it’s high noon and I’m on the back of a camel

Thirst is just an essence the devil is whispering

As I slip into a room with a fountain, running rivers of gin

See what you can have if you just loosen your grip

The noose is just a rope and the pupil is just a drip

Seeking light in the the darkness

The dog in me is barking

I procure drops of dark matter

It’s pure oceanic space inside my eyelids

The planets are in my iris

Bronze light beams gold, king Midas

They duck diving, eat riches like pretty wives

You never felt alive if you’ve never died

My bones never ache and my soul never cries

I fall weightless in the wake of greatness

Life is an homage to death

These cousins never kissed, nor laid in the bed to rest

I sketch breath with sharp and broken pencils

The message is permanent, it’s been etched into the mental

«What do you think about the stars in the sky?»

I’ll be seeing you soon

«…in the, in the sky?»

«It's okay, I guess»

"Je vais bientôt commencer à lire de la poésie

Euh… autant commencer maintenant »

Si mes poumons peuvent résister à ces saletés de glaçons

Les anges saupoudrent le pays des faux prophètes

Peut-être que je serre plus fort ma poésie

Juste pour avoir l'impression que ces murs écoutent encore du drame

Ne dérange pas le charpentier, bientôt il joue le signe avant-coureur

Il ne pouvait pas secouer le mocassin un surnom

Ils ne le connaissent que pour avoir regardé sur leur moniteur

Peut-être qu'ils ressentiront une sentiment d'un sentiment d'opéra cérébral

La vie est un hommage à la mort

Ces cousins ​​ne se sont jamais embrassés, ni couchés dans le lit pour se reposer

Je dessine mon souffle avec des crayons pointus et cassés

Le message est permanent, il a été gravé dans le mental

"Que pensez-vous des étoiles dans le ciel ?"

Je les verrai bientôt

« …dans le, dans le ciel ? »

"Ça va, je suppose"

Ma peau est trempée d'ombres

Mais il est midi et je suis sur le dos d'un chameau

La soif n'est qu'une essence que le diable chuchote

Alors que je me glisse dans une pièce avec une fontaine, coulant des rivières de gin

Découvrez ce que vous pouvez avoir si vous relâchez simplement votre emprise

Le nœud coulant n'est qu'une corde et la pupille n'est qu'un goutte à goutte

Cherchant la lumière dans les ténèbres

Le chien en moi aboie

Je me procure des gouttes de matière noire

C'est un pur espace océanique à l'intérieur de mes paupières

Les planètes sont dans mon iris

Faisceaux lumineux en bronze or, roi Midas

Ils canardent la plongée, mangent des richesses comme de jolies épouses

Tu ne t'es jamais senti vivant si tu n'es jamais mort

Mes os ne me font jamais mal et mon âme ne pleure jamais

Je tombe en apesanteur dans le sillage de la grandeur

La vie est un hommage à la mort

Ces cousins ​​ne se sont jamais embrassés, ni couchés dans le lit pour se reposer

Je dessine mon souffle avec des crayons pointus et cassés

Le message est permanent, il a été gravé dans le mental

"Que pensez-vous des étoiles dans le ciel ?"

Je te verrai bientôt

« …dans le, dans le ciel ? »

"Ça va, je suppose"