A Great Lady Has An Interview - Judy Garland
С переводом

A Great Lady Has An Interview - Judy Garland

  • Альбом: My Works

  • Année de sortie: 2017
  • Langue: Anglais
  • Durée: 5:04

Voici les paroles de la chanson : A Great Lady Has An Interview , artiste : Judy Garland Avec traduction

Paroles : A Great Lady Has An Interview "

Texte original avec traduction

A Great Lady Has An Interview

Judy Garland

Оригинальный текст

Now we don’t mean Greta and we don’t mean Bette or Loretta or the Song of

Bernadetta.

We mean the fabulous, fabulous lady they call…

(Butler)

The other gentlemen are here.

Please come in.

(Reporters)

She’s new;

she’s perfection;

she’s headlines;

she’s hot!

And in advance the critics are all in accord — she’s gonna win the next academy

award.

All her fans will be delighted, not to mention quite excited at her personal

appearance presently.

She’s stupendious, tremendious, collosical, teriffical, she’s got it!

But, definitely!

The glamorous, amorous lady they call…

(Judy)

Flibbins, what is all this?

(Butler)

The gentlemen of the press, my lady.

(Judy)

Darlings!

How utterly charming of you to have dropped in like this!

How delightfully informal of you to have dropped in like this!

I mean, how perfectly marvelous of you to have…

Well, you have dropped in, haven’t you?

And I…

Well, gentlemen, you have caught me pitifully unprepared.

And now, you may rise.

And now, you may rise…

Up, up!

Come, get up, get up, get up, get up!

Let’s get on with it.

There, now, that’s better, isn’t it?

(Reporters)

babbling, murmuring…

(Judy)

Gentlemen of the press…

members of the fourth estate…

What can I do for you?

Tell me, pray do.

(Reporters)

Oh glamorous lady, oh amorous lady, oh hamorous lady, here’s to you.

And humbly we’re here to…

Quite mumbly we’re here to…

Hum-drumly we’re here to interview you.

We’re here to pry into your private life.

We’re here to seek your every secret.

We’re here to scoop a scoop, obviously.

What is your next vehicle to be?

(Judy)

This is much too much.

A sort of a bit of a go and touch.

But, confidentially, gentlemen — and this is off the record of course…

(Reporters)

Of course!

(Judy)

But, about my next picture — I’m faced with a curious problem.

Shall I always be dramatic, biographically emphatic?

Should I devote my life to the legitimate art?

Or should I do what I’d adore so, do my acting with my torso, and give all the

natives a start?

Must the roles I play be tragic, full of Oscar-winning magic, should I drink

the cup of drama to its dregs?

Or do you think it is permissable to be for once quite kissable and give them a

peep of my leg?

I’d like to be a pinup girl, a cheesecake girl too.

And what is Ginger Rogers that I am not?

And what has Betty Grable got that I haven’t got?

Oh, the cinema must exhibit me in roles that so inhibit me, I feel,

well I feel just like a soldier out of step!

There!

But, would the episode outlive me, would my public quite forgive me if I tried

to show the world I’m really hep?

But, now you darlings, you adorable dear, dear boys, I’m going to tell you all

about my next picture…

What is my next picture?

No, no, don’t tell me!

Don’t tell me!

Shhhh!

(shuffling through pile of manuscripts on table)

Madame Crematante!

Madame Crematante, gentlemen, will be a monumental biographical tribute to a

monumental biographical woman who toiled, searched, starved, slaved, suffered,

pioneered so that the world — you and I — could reap the benefits of her

magnificent discovery, the safety pin!

The story starts in a dark, dank, dingy tenement in Amsterdam, Holland you know,

in the flat of a poor, impoverished family, but of rather good antecedants.

Gretchen Crematante was a very brave and noble woman who, against the wishes of

her father, the Baron, you know, married this young inventor who didn’t have a

sou!

Penniless!

And there they were in Amsterdam!

(Reporters)

In Amsterdam?

(Judy)

Yes, there they were in a dark and dingy tenement flat with no food and no heat

and no money for to pay the rent.

But did they care?

(Reporters)

No, they don’t care!

(Judy)

Madame Crematante, she don’t care!

'cause she seen the light just the other day

since then she been tryin' for to find a way for to bring to the world a big

invent, and so she did!

(Reporters)

And so she did!

(Judy)

Whoop dee doodee, Madame Crematante did!

She toiled and strived and sweat and slaved, a stretchin' her mind and

beginnin' to rave, but the price she paid was worth the pain, for on a cold and

frosty morn, the safety pin was born!

(Judy and Reporters)

Halelujah, etc.

Shout Halelujah and a big amen for the lady with the safety pin.

She really rocks about and gives what more do you want?

Hallelujah…

Перевод песни

Maintenant, nous ne voulons pas dire Greta et nous ne voulons pas dire Bette ou Loretta ou la chanson de

Bernadette.

Nous voulons dire la femme fabuleuse, fabuleuse qu'ils appellent…

(Majordome)

Les autres messieurs sont là.

Veuillez entrer.

(Rapporteurs)

Elle est nouvelle;

elle est la perfection;

elle fait la une des journaux ;

elle est chaude!

Et d'avance, les critiques sont toutes d'accord : elle va gagner la prochaine académie

décerner.

Tous ses fans seront ravis, sans parler de son enthousiasme personnel

apparence actuellement.

Elle est prodigieuse, formidable, colossale, formidable, elle l'a !

Mais, définitivement !

La femme glamour et amoureuse qu'ils appellent…

(Judy)

Flibbins, qu'est-ce que tout cela ?

(Majordome)

Les messieurs de la presse, ma dame.

(Judy)

Chéris !

Comme c'est tout à fait charmant de votre part d'être passé comme ça !

Comme c'est délicieusement informel d'être venu comme ça !

Je veux dire, comme c'est parfaitement merveilleux d'avoir ...

Eh bien, vous êtes passé, n'est-ce pas?

Et moi…

Eh bien, messieurs, vous m'avez pris au dépourvu.

Et maintenant, vous pouvez vous lever.

Et maintenant, vous pouvez vous lever…

Haut Haut!

Viens, lève-toi, lève-toi, lève-toi, lève-toi !

Allons-y.

Là, maintenant, c'est mieux, n'est-ce pas ?

(Rapporteurs)

babillage, murmure…

(Judy)

Messieurs de la presse…

membres du quatrième pouvoir…

Que puis-je faire pour vous?

Dis-moi, je t'en prie.

(Rapporteurs)

Oh dame glamour, oh dame amoureuse, oh dame hamoreuse, voici pour vous.

Et humblement, nous sommes ici pour…

Tout à fait marmonnant, nous sommes ici pour…

Hum-tambour, nous sommes là pour vous interviewer.

Nous sommes ici pour fouiller dans votre vie privée.

Nous sommes ici pour rechercher tous vos secrets.

Nous sommes ici pour ramasser un scoop, évidemment.

Quel est votre prochain véhicule ?

(Judy)

C'est beaucoup trop.

Une sorte d'un peu d'aller et de toucher.

Mais, en toute confidentialité, messieurs - et c'est officiel bien sûr…

(Rapporteurs)

Bien sûr!

(Judy)

Mais, à propos de ma prochaine photo, je suis confronté à un problème curieux.

Dois-je toujours être dramatique, biographiquement emphatique ?

Dois-je consacrer ma vie à l'art légitime ?

Ou devrais-je faire ce que j'adorerais, faire mon jeu avec mon torse, et donner tout le

les natifs ?

Les rôles que je joue doivent-ils être tragiques, pleins de magie oscarisée, dois-je boire

la coupe du drame jusqu'à sa lie ?

Ou pensez-vous qu'il est permis d'être pour une fois tout à fait embrassable et de leur donner un

un coup d'œil de ma jambe ?

J'aimerais être une pin-up, une cheesecake girl aussi.

Et qu'est-ce que Ginger Rogers que je ne suis pas ?

Et qu'est-ce que Betty Grable a de plus que moi ?

Oh, le cinéma doit m'exposer dans des rôles qui m'inhibent tellement, je me sens,

eh bien, je me sens comme un soldat en décalage !

Là!

Mais, est-ce que l'épisode me survivrait, est-ce que mon public me pardonnerait si j'essayais

pour montrer au monde que je suis vraiment hep ?

Mais, maintenant vous les chéris, vous adorables chers, chers garçons, je vais tout vous dire

à propos de ma prochaine photo…

Quelle est ma prochaine photo ?

Non, non, ne me dis rien !

Ne me dis pas !

Chut !

(parcourant une pile de manuscrits sur la table)

Madame Crémante !

Madame Crematante, messieurs, sera un monumental hommage biographique à un

femme biographique monumentale qui a peiné, fouillé, affamé, asservi, souffert,

a été pionnière pour que le monde - vous et moi - puisse récolter les bénéfices d'elle

magnifique découverte, l'épingle à nourrice !

L'histoire commence dans un immeuble sombre, humide et miteux à Amsterdam, en Hollande, vous savez,

dans l'appartement d'une famille pauvre et démunie, mais d'assez bons antécédents.

Gretchen Crematante était une femme très courageuse et noble qui, contre la volonté de

son père, le baron, vous savez, a épousé ce jeune inventeur qui n'avait pas

sou!

Sans le sou!

Et les voilà à Amsterdam !

(Rapporteurs)

À Amsterdam ?

(Judy)

Oui, ils étaient là dans un appartement sombre et miteux sans nourriture ni chauffage

et pas d'argent pour payer le loyer.

Mais s'en souciaient-ils ?

(Rapporteurs)

Non, ils s'en foutent !

(Judy)

Madame Crématante, elle s'en fout !

Parce qu'elle a vu la lumière l'autre jour

depuis lors, elle essaie de trouver un moyen d'apporter au monde un grand

inventer, et c'est ce qu'elle a fait !

(Rapporteurs)

Et c'est ce qu'elle a fait !

(Judy)

Whoop dee doodee, Madame Crématante l'a fait !

Elle a travaillé dur et s'est efforcée et a transpiré et asservi, étirant son esprit et

commencer à délirer, mais le prix qu'elle a payé en valait la peine, car par un rhume et

matin glacial, l'épingle à nourrice est née !

(Judy et journalistes)

Halelujah, etc.

Criez Halelujah et un grand amen pour la dame avec l'épingle à nourrice.

Elle est vraiment géniale et donne quoi de plus ?

Alléluia…

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