Не до абстракций - Loc-Dog

Время идет и стало нам не до абстракций, грязные мысли, снежные трассы.

А я мечтал, как серые массы выйдут за грань — будет другая планета.

Уезжал с этой мечтой в отделы, палаты, лепилы там убивали таланты.

А коммерсанты хотели мой голос сделать своим инструментом и выше подняться.

Видимо на спор, нас с тобой опять же заразили какими-то препаратами.

Постой, время пробило уже 12, и молчим.

Сложно хотя бы однажды правду сказать.

Чтобы не падать, чтобы не прятать глаза, что же со временем стало с нами?

Насквозь мокнут на улице люди, дождь по щекам бьет, а те кто в тепле уже — не

узнают.

Как это: шумиха двора, сейчас уже богатых пора и понятий все знать не знали.

Чем больше ты понтуешься, брат, тем ты больше признаешь, что как шл*ху тебя

продали.

Шоу бизнес, money, ни один из них не хотел чисто взять затянуться с нами.

А в небе полюбе предел, оставим тем все лаве, кто шарит в рекламе.

А мы теряли крышу, теряли мозги, летали выше, воровали, влезали в долги.

Писали треки, были свободны, не в клетке, не мешали только жить шприцы и

таблетки.

После осень приходила и холодно резко, стерлась половина передоза, аресты.

Жизни простые замесы, а люди так хотят веселые песни.

Я против вас пойми, мне пох** на весь мир, продвигай в толпу свой розовый

беспонт.

А я тогда был мал и любовь жила во мне, были те глаза и другие дела.

Потом она ушла по муткам, ушла по подъездам, я предал и писать о ней будет

нечестно.

Ведь любовь, это сейчас экзотика, это было лишь интро к еще одному треку за

наркотики.

Больно голову не срубай и таким как есть меня принимай.

Я буду смеяться…

Больно голову не срубай и таким как есть меня принимай.

Больно голову не срубай и таким как есть меня принимай.

Я буду смеяться…

Больно голову не срубай и таким как есть меня принимай.

Le temps passe et nous ne sommes plus à la hauteur des abstractions, des pensées sales, des pistes enneigées.

Et j'ai rêvé comment les masses grises dépasseraient les limites - il y aurait une autre planète.

Je suis parti avec ce rêve à des départements, des cabinets, des sculpteurs y ont tué des talents.

Et les marchands voulaient faire de ma voix leur instrument et s'élever plus haut.

Apparemment, suite à un défi, vous et moi avons de nouveau été infectés par des drogues.

Attendez, le temps a déjà sonné 12, et nous sommes silencieux.

Difficile de dire la vérité au moins une fois.

Pour ne pas tomber, pour ne pas se voiler la face, que nous est-il arrivé au fil du temps ?

Les gens se mouillent dans la rue, la pluie frappe leurs joues et ceux qui ont déjà chaud ne le sont pas

découvrir.

Comme ça : la hype du chantier, maintenant c'est l'heure des riches et tout le monde ne connaissait pas les concepts.

Plus tu t'exhibes, frère, plus tu avoues que comme une pute tu

vendu.

Show-business, argent, aucun d'entre eux n'a voulu prendre une bouffée avec nous.

Et aimez la limite dans le ciel, laissons tout à la lave qui tâtonne dans la publicité.

Et nous avons perdu notre toit, perdu notre cerveau, volé plus haut, volé, contracté des dettes.

Ils écrivaient des morceaux, étaient libres, pas dans une cage, seules les seringues n'interféraient pas avec la vie et

pilules.

Après l'automne est venu et le froid brusque, la moitié de l'overdose a été effacée, les arrestations.

La vie est simple, et les gens veulent tellement de chansons drôles.

Comprenez-moi contre vous, j'en ai rien à foutre du monde entier, faites la promotion de votre rose auprès de la foule

sur mesure.

Et puis j'étais petit et l'amour vivait en moi, il y avait ces yeux et d'autres choses.

Puis elle est partie dans la boue, partie par les porches, j'ai trahi et j'écrirai sur elle

pas juste.

Après tout, l'amour est maintenant exotique, ce n'était qu'une introduction à un autre morceau pour

médicaments.

Ne te coupe pas la tête et accepte-moi comme je suis.

je vais rire...

Ne te coupe pas la tête et accepte-moi comme je suis.

Ne te coupe pas la tête et accepte-moi comme je suis.

je vais rire...

Ne te coupe pas la tête et accepte-moi comme je suis.