Стреляй - Loc-Dog

Брат, скажи мне, много ли стоят наши жизни?

Трудные времена ломают самых сильных.

Все, что от них остается — громкие слова.

Дым сигаретный вьется и кружится голова.

По утру родной район встречает нас привычной пылью.

Какими маленькими мы с тобой когда-то были.

Не ожидая в рукопожатии подвох,

Теперь, грязные деньги тут многим заменили Бога.

Спросишь: «Устал немного?»

Я скажу: «Не, это все постановы, то, что они делают.

Бред!

Смотри, шуты рисуют себе псевдосвободу.

Вьются чертовской свитой на беде простого народа.

У них улыбки друзей, у них глаза настоящие;

Мастерство виртуозное и рассказы блестящие.

Они будут тянуть тебя в свою мерзкую картель,

Но я все еще верю, у нас с тобой другая цель.»

Припев:

А если нет, тогда стреляй в меня.

Не надо слов, я жить так не готов.

Если ты готов, тогда стреляй!

Забудь, не объясняй, зачем стрелял в меня.

Брат, бывает, вроде трезвы, но прибивает.

До бесконечности кадры прошлого перебираю.

Хмурая душа просит боль приглушить,

Тогда загляни в глаза мои, будем еще мы жить.

Знай, пускай у них там декорация и все искрится.

Каждая пешка, будто важная единица.

Каждая с*чка, как тигрица;

и каждый беспринципный,

По-возможности продумав все, пойдет на принцип.

Их мир бумажный, там души не ищи.

Они же нищие, жалко их, только поздно лечить.

Смотри, врачи хватаются за голову молча,

Как и за нас, когда сжигали свою молодость волчью.

У них стальные клыки, хотя глаза настоящие,

Но всему вопреки они станут бояться.

И когда мы теряемся окончательно во тьме —

Посмотри повнимательнее, там, за окнами, рассвет.

Припев:

А если нет, тогда стреляй в меня.

Не надо слов, я жить так не готов.

Если ты готов, тогда стреляй!

Забудь, не объясняй, зачем стрелял в меня.

А если нет, тогда стреляй в меня.

Не надо слов, я жить так не готов.

Если ты готов, тогда стреляй!

Забудь, не объясняй, зачем стрелял в меня.

Frère, dis-moi, combien valent nos vies ?

Les moments difficiles brisent les plus forts.

Il ne reste d'eux que de grands mots.

Boucles de fumée de cigarette et vertiges.

Le matin, notre région natale nous rencontre avec la poussière habituelle.

Comme toi et moi étions petits.

Ne s'attendant pas à une prise dans une poignée de main,

Maintenant, l'argent sale ici a remplacé Dieu pour beaucoup.

Vous demandez : "Fatigué un peu ?"

Je dirai : « Non, ce sont tous des décrets, ce qu'ils font.

Délirer!

Regardez, les bouffons s'attirent la pseudo-liberté.

Ils serpentent comme un cortège diabolique sur le malheur du petit peuple.

Ils ont des sourires d'amis, ils ont de vrais yeux ;

L'artisanat est virtuose et les histoires sont brillantes.

Ils vous entraîneront dans leur ignoble cartel

Mais je crois toujours que vous et moi avons un autre objectif."

Refrain:

Et si ce n'est pas le cas, tuez-moi.

Aucun mot n'est nécessaire, je ne suis pas prêt à vivre comme ça.

Si vous êtes prêt, alors tirez !

Laisse tomber, n'explique pas pourquoi tu m'as tiré dessus.

Frère, parfois, comme sobre, mais bat.

Je trie les trames du passé à l'infini.

Une âme sombre demande à étouffer la douleur,

Alors regarde-moi dans les yeux, nous vivrons encore.

Sachez, laissez-les avoir des décorations là-bas et tout scintille.

Chaque pion est comme une unité importante.

Chaque chienne est comme une tigresse

et tous les sans scrupules,

Si possible, après avoir tout réfléchi, il ira au principe.

Leur monde est de papier, n'y cherchez pas d'âmes.

Ce sont des mendiants, c'est dommage pour eux, seulement il est trop tard pour se soigner.

Regardez, les médecins se prennent la tête en silence,

Ainsi que pour nous, quand ils ont brûlé leur jeunesse comme un loup.

Ils ont des crocs d'acier, bien que leurs yeux soient réels,

Mais malgré tout, ils auront peur.

Et quand nous sommes finalement perdus dans l'obscurité -

Regardez de plus près, là, devant les fenêtres, l'aube.

Refrain:

Et si ce n'est pas le cas, tuez-moi.

Aucun mot n'est nécessaire, je ne suis pas prêt à vivre comme ça.

Si vous êtes prêt, alors tirez !

Laisse tomber, n'explique pas pourquoi tu m'as tiré dessus.

Et si ce n'est pas le cas, tuez-moi.

Aucun mot n'est nécessaire, je ne suis pas prêt à vivre comme ça.

Si vous êtes prêt, alors tirez !

Laisse tomber, n'explique pas pourquoi tu m'as tiré dessus.