Voici les paroles de la chanson : Три вместо одного , artiste : Loc-Dog Avec traduction
Texte original avec traduction
Loc-Dog
Смотри, как меня станет три вместо одного, мне критика льстит и даёт проход,
даже повод
Надавить на кнопку ракеты, моей судьбой правит хаус, я как волк, но головы,
головы, головы
Будут смеяться, катиться, как колобок, но там увидят бритый л*бок,
будут съедены хитрыми лисами.
Listen to me, what I talk — свободный речевой поток, убийца строк.
Революцию засунь себе поглубже, сынок, я самоуничтожусь в луже отражением
небритого *блюдка в кино.
Это покажется суицидным отклонением, ты будешь зависеть от уже признанного
гения.
В г*вно, я буду в метро ждать свой вагон, плевать на то, кто чё придумал,
наживая миллионы врагов
И мир таков, что надо на**ать всех, знаю, как сделать, забыл запотентовать.
Вот, выйди из недров, в желании просто успокоиться я взял и с корнем выдрал
свой единственный нерв,
Было бы больно, но поздно, ведь нерва не было, лишь гвозди и звёзды и полка
свежего и белого.
Я взял его потом он меня, потом мы выдали за золото камень и поменяли на еврал
менял,
Потом деревья махали с утра руками, плесала трава и память не знала,
куда девать себя.
Взяли водки и чисто не потакали и как джентльмены чисто сказали:
«Давай расслабься, детка».
Взяли водки и чисто не потакали и как джентльмены чисто сказали:
«Давай расслабься, детка».
И понеслась, во мне перевернулась власть, чёрное дуло у виска издало громкий
плачь,
Рука тряслась у палача, я кричал: «Стреляй!», патроны проходили мимо мозга.
И понеслась, во мне перевернулась власть, чёрное дуло у виска издало громкий
плачь
Рука тряслась у палача, я кричал: «Стреляй!», патроны проходили мимо мозга.
Включили газ и мы упали на траву, смеясь, ха-ха.
Regarde comme je serai trois au lieu d'un, la critique me flatte et cède,
même une raison
Appuyez sur le bouton de la fusée, mon destin est gouverné par la maison, je suis comme un loup, mais la tête,
têtes, têtes
Ils vont rire, rouler comme un chignon, mais là ils verront un putain rasé,
seront mangés par des renards rusés.
Écoutez-moi, ce que je dis - flux de parole libre, tueur de ligne.
Mets la révolution au fond de toi, mon fils, je m'autodétruirai dans une flaque de réflexion
mal rasé * soucoupe au cinéma.
Cela ressemblera à une déviation suicidaire, vous dépendrez du déjà reconnu
génie.
Putain, j'attendrai ma voiture dans le métro, je me fiche de qui a inventé quoi,
se faire des millions d'ennemis
Et le monde est tel qu'il faut baiser tout le monde, je sais le faire, j'ai oublié de le breveter.
Ici, sorti des entrailles, dans le désir de me calmer, je l'ai pris et je l'ai arraché par les racines
ton seul nerf
Ce serait douloureux, mais trop tard, car il n'y avait pas de nerf, seulement des clous et des étoiles et une étagère
frais et blanc.
Je l'ai pris, puis il m'a pris, puis nous avons échangé une pierre contre de l'or et l'avons échangé contre un juif
modifié
Puis les arbres ont agité leurs mains le matin, l'herbe a éclaboussé et la mémoire ne savait pas
où se mettre.
Ils ont pris de la vodka et ne se sont pas livrés purement, et comme le disaient messieurs purement:
"Détendons-nous, bébé."
Ils ont pris de la vodka et ne se sont pas livrés purement, et comme le disaient messieurs purement:
"Détendons-nous, bébé."
Et ça s'est précipité, le pouvoir s'est retourné en moi, le baril noir au temple a fait un fort
pleurer,
La main du bourreau tremblait, je criais : "Tirez !", les cartouches passaient par le cerveau.
Et ça s'est précipité, le pouvoir s'est retourné en moi, le baril noir au temple a fait un fort
pleurer
La main du bourreau tremblait, je criais : "Tirez !", les cartouches passaient par le cerveau.
Nous avons allumé le gaz et nous sommes tombés sur l'herbe en riant, ha ha.
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