Voici les paroles de la chanson : Enduring the Waves , artiste : Mount Eerie, Julie Doiron Avec traduction
Texte original avec traduction
Mount Eerie, Julie Doiron
Reading about Buddhism
And listening to Xasthur
On the subway in New York City
Back when you were my home
Not that long ago
This (This churning life)
Life (Of avalanches)
Upends me
Again and again (It spins)
Each night (Each day plummets into night)
Now my mind in the dark
Brings it all roaring back
That you could not bear me
(Can I bear uncertainty that arrives)
O the wind that came
In through the door?
That I can not hold you
(Holding you in my mind)
Our devotions mismatched
(Waking up surprised
With no one around
And wondering «who?»)
We could have bridged the gap
But it yawned and swallowed
This world of ours
That’s now yours and mine
(That's now mine and yours)
This life bulldozed (This life)
By ridiculous sensitivities (Clinging to rocks in wind)
Seeing your face everywhere
And there’s no escape (Seeing this lost chance)
Except what if we could go further in?
We were each others' reward
For enduring the waves
(«The wages of dying is love»)
(Like the poem says)
As long as the one last leap
Into the dark
Is wholehearted
It almost was
Lecture sur le bouddhisme
Et écouter Xasthur
Dans le métro de New York
À l'époque où tu étais ma maison
Il n'y a pas si longtemps
Cette (Cette vie agitée)
La vie (d'avalanches)
Me bouleverse
Encore et encore (ça tourne)
Chaque nuit (Chaque jour plonge dans la nuit)
Maintenant mon esprit dans le noir
Tout ramène en rugissant
Que tu ne pouvais pas me supporter
(Puis-je supporter l'incertitude qui arrive)
Ô le vent qui est venu
Par la porte ?
Que je ne peux pas te tenir
(Je te garde dans mon esprit)
Nos dévotions dépareillées
(Se réveiller surpris
Sans personne autour
Et se demander « qui ? »)
Nous aurions pu combler le fossé
Mais il bâilla et avala
Ce monde qui est le nôtre
C'est maintenant le vôtre et le mien
(C'est maintenant le mien et le vôtre)
Cette vie rasée (cette vie)
Par des sensibilités ridicules (s'accrochant aux rochers dans le vent)
Voir ton visage partout
Et il n'y a pas d'échappatoire (En voyant cette chance perdue)
Sauf que si nous pouvions aller plus loin ?
Nous étions la récompense de l'autre
Pour endurer les vagues
("Le salaire de la mort, c'est l'amour")
(Comme dit le poème)
Tant que le dernier saut
Dans le noir
Est de tout cœur
C'était presque
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