Voici les paroles de la chanson : The Gulf of Araby , artiste : Natalie Merchant Avec traduction
Texte original avec traduction
Natalie Merchant
If you could fill a vale with shells from Killiney’s shore
And sweet talk in a tongue that is no more
And if wishful thoughts could bridge The Gulf of Araby
Between what is, what is, what is
And what can never be
If you could hold the frozen flow of New Hope Creek
And hide out from the one they said you might meet
And if you could unlearn all the words
That you never wanted heard
If you could stall the southern wind
That’s whistling in your ears
You could take what is, what is, what is
To what can never be
One man of seventy whispers free at last
Two neighbors who are proud of their massacres
Three tyrants torn away in a winter’s month
Four prisoners framed by a dirty judge
Five burned with tyres
Six men still inside
And seven more days to shake at the great divide
(X2) The Gulf, the Gulf of Araby
Well, we would plough and part the earth to bring you home
And harvest every miracle ever known
And if they laid out all the things
That these ten years were to bring
We would gladly give them up
To bring you back to us
O, there is nothing we would not give
To kiss you and to believe we could take what is, what is, what is
To what can never be
One man of seventy whispers not free yet
Two neighbors who make up knee-deep in their dead
Three tyrants torn away in the summer’s heat
Four prisoners lost in the fallacy
Five, on my life
And six, I’m dead inside
And seven more days to shake at the great divide
(X2) The Gulf, the Gulf of Araby
Si vous pouviez remplir une vallée de coquillages du rivage de Killiney
Et des mots doux dans une langue qui n'est plus
Et si des vœux pieux pouvaient combler le golfe d'Arabie
Entre ce qui est, ce qui est, ce qui est
Et ce qui ne peut jamais être
Si vous pouviez retenir le flux gelé de New Hope Creek
Et cachez-vous de celui qu'ils ont dit que vous pourriez rencontrer
Et si vous pouviez désapprendre tous les mots
Que tu n'as jamais voulu entendre
Si tu pouvais bloquer le vent du sud
Ça siffle dans tes oreilles
Tu pourrais prendre ce qui est, ce qui est, ce qui est
À ce qui ne peut jamais être
Un homme de soixante-dix chuchote enfin libre
Deux voisins fiers de leurs massacres
Trois tyrans arrachés en un mois d'hiver
Quatre prisonniers piégés par un sale juge
Cinq brûlés avec des pneus
Six hommes toujours à l'intérieur
Et sept jours de plus pour secouer le grand fossé
(X2) Le Golfe, le Golfe d'Arabie
Eh bien, nous labourerions et séparerions la terre pour vous ramener à la maison
Et récolter chaque miracle jamais connu
Et s'ils exposaient toutes les choses
Que ces dix années devaient apporter
Nous serions ravis de les abandonner
Pour vous ramener vers nous
O, il n'y a rien que nous ne donnerions pas
T'embrasser et croire qu'on pourrait prendre ce qui est, ce qui est, ce qui est
À ce qui ne peut jamais être
Un homme de soixante-dix chuchote pas encore libre
Deux voisins qui se maquillent jusqu'aux genoux dans leurs morts
Trois tyrans arrachés dans la chaleur de l'été
Quatre prisonniers perdus dans le sophisme
Cinq, sur ma vie
Et six, je suis mort à l'intérieur
Et sept jours de plus pour secouer le grand fossé
(X2) Le Golfe, le Golfe d'Arabie
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes