Voici les paroles de la chanson : Театр , artiste : Ольга Арефьева, Ковчег Avec traduction
Texte original avec traduction
Ольга Арефьева, Ковчег
Стою и чувствую, как взрослею,
У стен есть плотность и глубина,
У плоти есть под корою змеи,
Улыбка Кали слегка злобна.
Остра печаль, одиноки черви,
Безликий сфинкс не пускает слез,
Веревка — это не просто вервие:
Внутри и так перепилен трос.
Увитый матчем щербленых кнопок
Кассир-привратник глядит в дупло,
Жует билеты, небрит и робок,
А время роли уже пошло.
Театр открыт как коробка снизу —
Видны запыленные кишки.
Пернатый клоун идет карнизом
И шлет измученные смешки.
Необычайная банальность эта антиутопия.
Учите текст, шевеля глазами,
Пока предсердие ловит такт.
Наш главный чем-то все время занят,
Не надо плакать, у нас аншлаг.
Ступни к стропилам небес прижаты,
Башка стучит в мировое дно,
Извне все это висит как вата,
А изнутри — как в гробу темно.
Красива участь кривых амуров,
Босых цариц в зоопарке сцен.
Ты эпизод — ты взлетаешь хмуро
И попадаешь не в плоть, а в плен.
А наверху — все пески, да точки,
Овалы, клетки, щенки химер…
Ты не попал в них настолько точно,
Что аплодировал весь партер.
Необычайная банальность эта антиутопия.
В глазах по лампочке, в ребрах дырка,
Астральный ветер, картонный член.
Я сирота, я умею зыркать,
И нажимать, и стрелять с колен.
Ты будешь в платье из красных буден
Кружить смещенный ногами пол,
Но ты не знаешь, кто эти люди,
К которым ты, наконец, пришел!
Je me tiens debout et je sens comment je grandis,
Les murs ont de la densité et de la profondeur
La chair a des serpents sous son écorce,
Le sourire de Kali est légèrement méchant.
Tristesse aiguë, vers solitaires,
Le sphinx sans visage ne verse pas de larmes,
Une corde n'est pas qu'une corde :
La corde est déjà sciée à l'intérieur.
entrelacé d'une allumette de boutons ébréchés
Le caissier-gardien regarde dans le creux,
Mâche des billets, mal rasé et timide,
Et le moment du rôle est déjà venu.
Le théâtre est ouvert comme une boîte d'en bas -
Les intestins poussiéreux sont visibles.
Le clown à plumes marche le long du rebord
Et envoie des rires épuisés.
Cette dystopie est d'une extraordinaire banalité.
Apprenez le texte en bougeant les yeux
Pendant que l'atrium bat le rythme.
Notre chef est toujours occupé avec quelque chose,
Inutile de pleurer, nous avons salle comble.
Les pieds pressés contre les chevrons du ciel,
La tête frappe au fond du monde,
De l'extérieur, tout pend comme du coton,
Et de l'intérieur - comme dans un cercueil, il fait noir.
Le destin des amours tordus est beau,
Reines aux pieds nus dans les scènes de zoo.
Vous êtes un épisode - vous décollez sombrement
Et vous ne tombez pas dans la chair, mais en captivité.
Et surtout - tous les sables, oui points,
Ovales, cages, chiots de chimères...
Vous ne les avez pas frappés avec autant de précision
Cela a applaudi tout le parterre.
Cette dystopie est d'une extraordinaire banalité.
Il y a une ampoule dans les yeux, un trou dans les côtes,
Vent astral, membre en carton.
Je suis orphelin, je sais éblouir,
Et appuyez et tirez à genoux.
Vous serez dans une robe rouge de tous les jours
Tournant autour du sol déplacé par les pieds,
Mais tu ne sais pas qui sont ces gens
Où vous êtes enfin arrivé !
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