Sie singt für die, die sie nicht hören - Oonagh

An einem Feuer tief im regendunklen Wald

Sitzt die ewig graue Alte — ihr ist kalt

Hier sitzt sie immer, schon seit Jahren

Nacht für Nacht

So haben ihr es eins die Götter beigebracht

Sie singt für die, die sie nicht hören

Sie tanzt für die, die sie nicht seh´n

Teilt Ihre Zuversicht mit denen,

Die ohne jede Hoffnung sind

Niemand weiß um ihre Tränen, wenn sie singt

Tralala…

Sie tut, wie jede Nacht, zur selben dunklen Stund

Wenn sie den Moment gekommen glaubt

Aus ihrem ewig alten Faltenmunde kund…

Und schüttelt, wie in einer anderen Welt, ihr Haupt

Sie singt für die, die sie nicht hören

Sie tanzt für die, die sie nicht seh´n

Teilt Ihre Zuversicht mit denen,

Die ohne jede Hoffnung sind

Niemand weiß um ihre Tränen, wenn sie singt

Tralala…

Sie singt für die, die sie nicht hören

Sie tanzt für die, die sie nicht seh´n

Teilt Ihre Zuversicht mit denen,

Die ohne jede Hoffnung sind

Niemand weiß um ihre Tränen, wenn sie singt

Tralala…

(Dank an André Brunner für den Text)

À un feu au fond de la forêt pluvieuse

La vieille femme éternellement grise est assise - elle a froid

C'est là qu'elle est toujours assise, pendant des années

nuit pour nuit

C'est ainsi que les dieux lui ont appris

Elle chante pour ceux qui ne l'entendent pas

Elle danse pour ceux qui ne la voient pas

Partagez votre confiance avec ceux

qui sont sans espoir

Personne ne connaît ses larmes quand elle chante

tralala…

Elle le fait, comme chaque nuit, à la même heure sombre

Quand elle pense que le moment est venu

De sa bouche ridée éternellement vieille connue...

Et secoue la tête comme dans un autre monde

Elle chante pour ceux qui ne l'entendent pas

Elle danse pour ceux qui ne la voient pas

Partagez votre confiance avec ceux

qui sont sans espoir

Personne ne connaît ses larmes quand elle chante

tralala…

Elle chante pour ceux qui ne l'entendent pas

Elle danse pour ceux qui ne la voient pas

Partagez votre confiance avec ceux

qui sont sans espoir

Personne ne connaît ses larmes quand elle chante

tralala…

(Merci à André Brunner pour le texte)