Voici les paroles de la chanson : Ливень , artiste : Разные Люди Avec traduction
Texte original avec traduction
Разные Люди
Ливень вымыл медь заката,
Солнца свет — пустая трата.
Лишь клоки свинцовой ваты
С ветром рвутся вдаль куда-то.
Золоченые леса
Расплываются, как грезы.
Или это просто слезы
Застилают мне глаза.
В небе, надо мной летят
Паутинки, будто спицы.
В куполах кружатся птицы.
Но к чему всё это снится.
Колокольный перезвон
Еле слышится сквозь грозы.
Или это все березы
Растревожили мой сон.
Будто плачь грудных детей
Бьются, разрывая узы,
В гимн Советского Союза,
Стоны взорванных церквей.
В небе надо мной летят
Паутинки, будто спицы.
В куполах кружатся птицы.
Боже, это только снится.
На траве двора
Мечется моя босая тень
И бьется о плетень.
Будто нищий с костылем
Ковыляю по станицам.
Перекошенные лица
Чахнут над своим рублем.
Проклиная честь и кров,
Напиваются калеки
И в неоновые реки
С грязных городских мостов.
Смех и слезы, как в бреду.
Лишь дрожат твои ресницы.
Может это только снится,
Но проснуться не могу.
На траве двора
Корчится моя больная тень.
Скорей бы новый день.
L'averse a lavé le cuivre du couchant,
La lumière du soleil est un gaspillage.
Seulement des lambeaux de laine de plomb
Avec le vent, ils se précipitent quelque part au loin.
Bois dorés
Se dissoudre comme des rêves.
Ou sont-ce juste des larmes
Couvrir mes yeux.
Dans le ciel, ils me survolent
Des toiles d'araignées, comme des aiguilles à tricoter.
Les oiseaux tournent dans les dômes.
Mais à quoi tout cela fait-il rêver.
Carillon de cloche
À peine entendu à travers les orages.
Ou est-ce tous les bouleaux
A perturbé mon sommeil.
Comme des bébés qui pleurent
Se battre, rompre les liens
Dans l'hymne de l'Union soviétique,
Les gémissements des églises explosées.
Ils volent au-dessus de moi dans le ciel
Des toiles d'araignées, comme des aiguilles à tricoter.
Les oiseaux tournent dans les dômes.
Dieu, ce n'est qu'un rêve.
Sur l'herbe de la cour
Mon ombre pieds nus se précipite
Et bat sur la clôture d'acacia.
Comme un mendiant avec une béquille
Je boitille dans les villages.
visages de travers
Ils languissent sur leur rouble.
Maudissant honneur et abri,
Les infirmes s'enivrent
Et dans les rivières au néon
Des ponts sales de la ville.
Des rires et des larmes, comme en délire.
Seuls vos cils tremblent.
Peut-être que ce n'est qu'un rêve
Mais je ne peux pas me réveiller.
Sur l'herbe de la cour
Mon ombre malade se tord.
Comme un nouveau jour.
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