Der Flammen Glanz im Haar - Samsas Traum
С переводом

Der Flammen Glanz im Haar - Samsas Traum

  • Альбом: Asen'ka - Ein Märchen für Kinder und solche, die es werden wollen

  • Année de sortie: 2012
  • Langue: Allemand
  • Durée: 9:27

Voici les paroles de la chanson : Der Flammen Glanz im Haar , artiste : Samsas Traum Avec traduction

Paroles : Der Flammen Glanz im Haar "

Texte original avec traduction

Der Flammen Glanz im Haar

Samsas Traum

Оригинальный текст

Von unbändigem Stolz beseelt verbrennt das Feuer

Auch dann das, was es nährt,

wenn bald sein Ende naht

Zu zögern wäre für die Flamme Hochverrat

Sie züngelt um den Tod,

der Preis der Macht ist teuer

Auch sucht sie nicht den Sinn im Lodern, im Verzehren

Sie fragt niemals, warum sie was von ihr berührt

Den unheilvollen Weg durch die graue Asche führt

Die Ewigkeit war stets ihr einziges Begehren

So sehr uns auch ihr Tanz, ihr Kampf betören mag

So oft man ihrem Schein und ihrem Licht erlag

Kein Kind ward je allein aus Flammenglanz geboren

Welch unsagbares Glück nimmt sich des Lebens an:

Das Glück, dass weder Zeit noch Liebe brennen kann

Getrieben wären wir, geknechtet und verloren

Mit gnadenloser Wucht prallt aller Meere Last

Tagtäglich gegen Fels, auf Ufer und Gesteine

Das Wasser nimmt sich das, was ihm gehört: Das Seine

Und trägt's für immer fort, mit Würde, ohne Hast

Es brandet unbeirrt um unser Erdenrund

Kein weltliches Gesetz wird je die Wellen hindern

Sich aufzubäumen, nichts wird ihre Kräfte mindern

Sie reißen uns hinfort, sie zerren uns auf den Grund

Dort unten doch, wo nie die Augen Licht erblickten

Wo alle Flammen schon im Wiegenbett erstickten

Dort unten ist die See fast sanftmütig und sacht

Denn vor dem ersten Tag, bevor die Welt entstanden

War schon das Wasser da, und als die Nebel schwanden

Hat Gott nicht unser Meer, das Meer hat Gott gemacht

Himmelsglut und Nachthauch, Felsenquell und Flüsse

Steigt aus euren Betten, bringt dem Kindlein Küsse

Ich rufe alle Bäume, die das Land in Schatten hüllen

Mich jetzt mit ihrer Stärke, ihrem Atem zu erfüllen

Ich rufe alle Motten, mir Geleit und Halt zu geben

Mich sanft auf tausend Schwingen in die Wolken zu erheben

Ich rufe alle Sterne, mir zu leuchten, mich zu lenken

Mir Zuversicht und Ruhe,

mir ihr hellstes Licht zu schenken

Ich rufe auch den Mond, die Mutter, die die Meere stützt

Auf dass sie meiner Reise wachsam folgt

und mich beschützt

Feuer, Sturm und Wogen, ihr sollt euch erheben

Zauberstein und Traumsand,

ihr zeugt neues Leben

Wie eine Feder leicht, mit unhörbaren Schritten

Der Wogen Schlag im Herz, der Flammen Glanz im Haar

Ist sie sich ihrer Kraft und Aufgabe gewahr

Der Dunkelheit entflohen, dem Nichts mit List entglitten

Der Abenddämmerung Rot berührte ihre Wangen

Des Morgenhimmels Blau verhüllte ihre Sicht

Ein kleiner Tropfen Weiß, der sich in viele bricht

Hat in nur einer Nacht die ganze Welt umfangen

Wenn in den Kronen leis das Lied des Waldes klingt

Ein jedes Stimmlein sanft auf dieselbe Weise singt

Hat mancher schon das Tor zur Geisterwelt durchtreten

Wie schnell kommt man doch ab vom Weg, an dessen Rand

Man einst das Edle und das Friedliebende fand

Und Sommervögel um die Gunst des Wandrers flehten

Ich rufe alle Wolken, bleibt,

ihr dürft noch nicht verwehen

Lasst mich mit meinen Füßen auf euch schreiten,

auf euch stehen

Ich rufe die Verstorbenen, die ungeborenen Seelen

Mir heut aus ihrer Mitte nur die Reinste auszuwählen

Ich rufe alle Kerzen, ihre Dochte zu entzünden

Der ganzen Welt den Sieg der wahren Liebe zu verkünden

Ich rufe in die Zukunft, heute rufe ich dir zu:

Alles, was ich damals wollte, alles, das warst du

Lebensstaub der Erde, Flammen, Wasser, Winde

Sammelt eure Kräfte, strömet hin zum Kinde

Перевод песни

Inspiré par une fierté irrépressible, le feu brûle

Même alors ce qu'il nourrit

quand la fin est proche

Hésiter serait trahir la Flamme

Elle langue pour la mort

le prix de l'électricité est cher

Elle ne cherche pas non plus de sens à flamber, à consommer

Elle ne demande jamais pourquoi elle touche quoi que ce soit d'elle

Mène le chemin sinistre à travers la cendre grise

L'éternité a toujours été son seul désir

Autant que leur danse, leur combat peut nous séduire

Aussi souvent qu'on a succombé à son apparence et sa lumière

Aucun enfant n'est jamais né des flammes seules

Quel bonheur indicible prend la vie :

Le bonheur que ni le temps ni l'amour ne peuvent brûler

Nous serions chassés, asservis et perdus

Avec une force impitoyable, le fardeau de toutes les mers s'écrase

Chaque jour contre le rocher, sur les berges et les rochers

L'eau prend ce qui lui appartient : le sien

Et l'emporte pour toujours, dignement, sans hâte

Il ondule sans se laisser décourager autour de notre globe

Aucune loi du monde n'empêchera jamais les vagues

Pour se cabrer, rien ne diminuera leur force

Ils nous éloignent, ils nous entraînent au fond

Là-bas, là où les yeux n'ont jamais vu la lumière

Où toutes les flammes étaient déjà étouffées dans le berceau

Là-bas la mer est presque douce et douce

Parce qu'avant le premier jour avant l'émergence du monde

L'eau était déjà là, et quand les brumes ont disparu

Dieu n'a-t-il pas fait notre mer, Dieu a fait la mer

flamboiement du ciel et souffle de la nuit, source de rochers et de rivières

Sortez de vos lits, apportez des bisous au bébé

J'invoque tous les arbres qui ombragent la terre

Pour me remplir maintenant de sa force, de son souffle

J'appelle tous les papillons pour m'escorter et me tenir

S'élever doucement de mille ailes dans les nuages

J'appelle toutes les étoiles à briller sur moi, à me guider

moi confiance et calme,

pour me donner leur lumière la plus brillante

J'invoque aussi la lune, la mère qui soutient les mers

Qu'elle suive mon voyage avec vigilance

et protège moi

Feu, tempête et vagues, vous vous lèverez

pierre magique et sable de rêve,

tu crées une nouvelle vie

Aussi léger qu'une plume, avec des pas inaudibles

Les vagues battent dans le coeur, les flammes brillent dans les cheveux

Est-elle consciente de son pouvoir et de sa tâche ?

A fui les ténèbres, s'est glissé hors du vide avec ruse

Le rouge du crépuscule a touché ses joues

Le bleu du ciel du matin voilait leur vision

Une petite goutte de blanc qui se brise en plusieurs

Englobé le monde entier en une seule nuit

Quand le chant de la forêt résonne doucement dans les couronnes

Chaque petite voix chante doucement de la même manière

Certains ont déjà franchi la porte du monde des esprits ?

À quelle vitesse tu sors du chemin, à son bord

On trouvait autrefois le noble et le pacifique

Et les oiseaux d'été imploraient la faveur du vagabond

J'appelle tous les nuages, reste

tu ne dois pas encore souffler

laisse-moi marcher sur toi avec mes pieds,

se tenir sur toi

J'appelle les morts, les âmes à naître

Pour ne choisir que les plus purs parmi eux aujourd'hui

J'appelle toutes les bougies à allumer leurs mèches

Pour annoncer au monde entier la victoire du véritable amour

J'appelle dans le futur, aujourd'hui je t'appelle :

Tout ce que je voulais à l'époque, tout, c'était toi

Poussière de vie de la terre, flammes, eau, vents

Rassemblez vos forces, jetez vers l'enfant

Plus de 2 millions de paroles

Chansons en différentes langues

Traductions

Traductions de haute qualité dans toutes les langues

Recherche rapide

Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes