Voici les paroles de la chanson : Along the Road That Leads to Bedlam , artiste : Schammasch Avec traduction
Texte original avec traduction
Schammasch
One day four masked men, upon orders received,
Threw themselves upon him and bound him hand and foot,
So that he could only move his legs.
The Whip’s harsh lash slashed at his back,
And they told him to be on his way without delay.
— along the road that leads to Bedlam.
He began to smile while scourged and spoke to them with such feelings,
Such intelligence concerning so many human sciences he had studied
— displaying vast erudition for one who
had not yet crossed the threshold of youth.
And his discourse on Humanity’s Destiny,
During which he laid absolutely bare the poetic nobility of his soul,
Made his captors — shaken to the core by
what they had done — unbind his battered limbs
And fall on their knees begging forgiveness.
His excessive Modesty,
which dawned on him because of this idea of being but a monster,
Prevents his bestowing his glowing compassion upon any man.
He shelters behind his self-respect,
offended by this blasphemous assumption
Which arises solely from himself and persists in remaining alone
And without solace in the midst of
torments.
His pride repeats to him this axiom:
«Let each keep to his own kind.»
Un jour quatre hommes masqués, sur ordre reçu,
se jetèrent sur lui et lui lièrent pieds et poings,
Pour qu'il ne puisse bouger que ses jambes.
Le fouet dur du fouet lui a lacéré le dos,
Et ils lui ont dit de partir sans délai.
— le long de la route qui mène à Bedlam.
Il a commencé à sourire alors qu'il était flagellé et leur a parlé avec de tels sentiments,
Une telle intelligence concernant tant de sciences humaines qu'il avait étudiées
— faisant preuve d'une vaste érudition pour celui qui
n'avait pas encore franchi le seuil de la jeunesse.
Et son discours sur le destin de l'Humanité,
Au cours de laquelle il a mis à nu la noblesse poétique de son âme,
A fait ses ravisseurs - secoué au cœur par
ce qu'ils avaient fait - délier ses membres meurtris
Et tomber à genoux en implorant pardon.
Sa pudeur excessive,
qui lui est apparu à cause de cette idée de n'être qu'un monstre,
Empêche qu'il accorde sa compassion éclatante à tout homme.
Il s'abrite derrière son amour-propre,
offensé par cette supposition blasphématoire
Qui naît uniquement de lui-même et persiste à rester seul
Et sans consolation au milieu de
tourments.
Son orgueil lui répète cet axiome :
"Que chacun s'en tienne à son espèce."
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