Voici les paroles de la chanson : Mouth Like A Magazine , artiste : Showbread Avec traduction
Texte original avec traduction
Showbread
Turning over in interrupted slumber
You ponder others, growing ever wakeful
You’ve locked the vermin in the other bedroom
To be so perfect causes you to feel so thankful
Now find the fault because your boyfriend can’t read
Reflecting on to you is that the bitterness you need
So unhappy, yet so preoccupied
Never found, beaten down, with your forked tongue tied
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Queen dependency is cowering, please don’t be confused
You are vacant and submissive, receptive to abuse
Virtue isn’t tangible, and sense of self is dated
Names constant on your cracked lips are now eviscerated
Your spine is made of metal, your veins are 'lectric tape
And all along an impulse lights at random in your fa-ace
Cough up an offering, forget which words are lies
Then your skull echoes a singeing pop, your brain is cauterized
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Within the walls I hear all of its legs
There must be so many to carry over our heads
Seething and unsettled and, oh, such a let down
Some rusty spokes inside my head are making such a grating Sound
Your legacy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Your eulogy is like poetry
But, your mouth is like a magazine
Yeah!
Yeah!
Yeah!
Yeah!
Yeah!
Whoa!
Se retourner dans un sommeil interrompu
Tu réfléchis aux autres, de plus en plus éveillé
Vous avez enfermé la vermine dans l'autre chambre
Être si parfait vous rend si reconnaissant
Maintenant, trouve la faute parce que ton petit ami ne sait pas lire
Réfléchir à toi, c'est que l'amertume dont tu as besoin
Si malheureux, mais si préoccupé
Jamais trouvé, battu, avec ta langue fourchue attachée
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
La dépendance de la reine se recroqueville, s'il vous plaît ne soyez pas confus
Vous êtes vacant et soumis, réceptif aux abus
La vertu n'est pas tangible et le sens de soi est daté
Les noms constants sur vos lèvres craquelées sont maintenant éviscérés
Ta colonne vertébrale est en métal, tes veines sont du ruban électrique
Et tout au long d'une impulsion s'allume au hasard dans votre visage
Toussez une offrande, oubliez quels mots sont des mensonges
Puis ton crâne fait écho à un pop chantant, ton cerveau est cautérisé
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Dans les murs, j'entends toutes ses jambes
Il doit y en avoir tellement à porter par-dessus nos têtes
Bouillonnant et instable et, oh, tellement déçu
Certains rayons rouillés dans ma tête font un tel son grinçant
Votre héritage est comme la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Votre éloge funèbre est comme de la poésie
Mais ta bouche est comme un magazine
Ouais!
Ouais!
Ouais!
Ouais!
Ouais!
Waouh !
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