Mobile - Sierra Kidd

Und wenn sie mich fragen «Wohin geht’s?»

Irgendwohin, wo der Docht flimmert

Mittlerweile nicht mehr alleine in meiner Kopfvilla

Immer noch der Junge, der so einsam in sein’m Kuhkaff chillt

Sie sagen, dass ich ein Loser bin

Weil ich mit niemanden was zutun haben will

Sie fragen mich über alles aus

Fragen was grad so geht, guck mal es ist so

Wenn ich mich mal ein wenig freu'

Und einen Track darüber schreib'

Haten sie, doch wenn ich wein' ist alles tight, alles okay

Und nicht mehr lang, bis ich durch dreh

Schon viel zu lange her, vergaß schon lang wie man einschläft

Und ich hab einen Traum, der sich erfüllt, wenn ich durchsteh'

Alles zieht mich runter, doch egal denn ich bleib' steh’n

Für mich sind alle anderen doch komplett gleich

Ich schreibe mein Leben auf, bis mich irgendjemand aus meinem Kontext reißt

Worum sich die Texte dann dreh’n, und was ich mach'

Darüber lässt sich dann Nächte lang reden, wenn du verstehst

Und sie labern mich nur zu, tu’n als ob sie zu weit sind

Für mich, wer kann mir sagen, ich würd' nie was erreichen

Denn sie wollen doch immer mehr

Stehen am Ziel, sie wollen hinterher (hinterher)

Arbeiten solange bis wir reich sind

Zeit ist Geld, wir werden schon sehen, was die Zeit bringt

Denn sie wollen doch immer mehr

Denn die Menschen kommen nicht hinterher (hinterher, hinterher, hinterher,

hinterher)

Warum gut sein, wenn es auch ohne geht?

Ist immer gleich, seid ihr oben dreht ihr euch ständig im Kreis — Mobile

Sag' nur das, was ich sagen muss

Ihr müsst ständig nur irgendwas neues Bedeutendes auftischen, wie Stühle nach

Ladenschluss

Sorry, dass ich mich nicht bemüht hab

Sie sagen: «Guck dir diesen Typen an!

Für ihn fängt stets alles zu früh an»

Geb' kein' Fick und bin gefühlskrank, weil ihr nie gefühlt habt

Fehlt euch das Rückgrat ihr Lügner

Und nicht mehr lang, bis ich durch dreh

Schon viel zu lange her, vergaß schon lang wie man einschläft

Und ich hab einen Traum, der sich erfüllt, wenn ich durchsteh'

Alles zieht mich runter, doch egal denn ich bleib' steh’n

Für mich sind alle anderen doch komplett gleich

Ich schreibe mein Leben auf, bis mich irgendjemand aus meinem Kontext reißt

Worum sich die Texte dann dreh’n, und was ich mach'

Darüber lässt sich dann Nächte lang reden, wenn du verstehst

Und sie labern mich nur zu, tu’n als ob sie zu weit sind

Für mich, wer kann mir sagen, ich würd' nie was erreichen

Denn sie wollen doch immer mehr

Stehen am Ziel, sie wollen hinterher (hinterher)

Arbeiten solange bis wir reich sind

Zeit ist Geld, wir werden schon sehen, was die Zeit bringt

Denn sie wollen doch immer mehr

Denn die Menschen kommen nicht hinterher (hinterher, hinterher, hinterher,

hinterher)

Et s'ils me demandent "Où allons-nous?"

Quelque part où la mèche vacille

En attendant, je ne suis plus seul dans ma villa principale

Toujours le garçon qui se détend si seul dans sa ville de vache

Ils disent que je suis un perdant

Parce que je ne veux rien avoir à faire avec personne

Tu me questionne sur tout

Demandez ce qui se passe, regardez, c'est comme ça

Si je suis un peu heureux

Et écrire un morceau à ce sujet

Ils l'ont fait, mais quand je pleure, tout est serré, tout va bien

Et pas longtemps jusqu'à ce que je devienne fou

Il y a bien trop longtemps, j'ai depuis longtemps oublié comment s'endormir

Et j'ai un rêve qui se réalisera si je survis

Tout me tire vers le bas, mais ça n'a pas d'importance parce que je reste immobile

Pour moi, tout le monde est complètement pareil

J'écris ma vie jusqu'à ce que quelqu'un me sorte de son contexte

De quoi parlent les paroles et ce que je fais

Tu peux en parler toute la nuit si tu comprends

Et ils babillent juste après moi, prétendent qu'ils sont trop loin

Pour moi, qui peut me dire que je n'arriverais jamais à rien

Parce qu'ils en veulent toujours plus

Debout au but, ils veulent être derrière (ci-dessous)

Travailler jusqu'à ce que nous soyons riches

Le temps c'est de l'argent, nous verrons ce que le temps apporte

Parce qu'ils en veulent toujours plus

Parce que les gens ne suivent pas (après, après, après,

après)

Pourquoi être bon quand on peut s'en passer ?

C'est toujours pareil, quand t'es au top t'es en train de tourner en rond — mobile

Dis juste ce que j'ai à dire

Il vous suffit de continuer à proposer quelque chose de nouveau qui compte, comme des chaises

Heure de fermeture

Désolé je n'ai pas essayé

Ils disent : "Regardez ce gars !

Tout commence toujours trop tôt pour lui»

Je m'en fous et je suis émotionnellement malade parce que tu n'as jamais ressenti

Vous manquez de colonne vertébrale vous menteurs

Et pas longtemps jusqu'à ce que je devienne fou

Il y a bien trop longtemps, j'ai depuis longtemps oublié comment s'endormir

Et j'ai un rêve qui se réalisera si je survis

Tout me tire vers le bas, mais ça n'a pas d'importance parce que je reste immobile

Pour moi, tout le monde est complètement pareil

J'écris ma vie jusqu'à ce que quelqu'un me sorte de son contexte

De quoi parlent les paroles et ce que je fais

Tu peux en parler toute la nuit si tu comprends

Et ils babillent juste après moi, prétendent qu'ils sont trop loin

Pour moi, qui peut me dire que je n'arriverais jamais à rien

Parce qu'ils en veulent toujours plus

Debout au but, ils veulent être derrière (ci-dessous)

Travailler jusqu'à ce que nous soyons riches

Le temps c'est de l'argent, nous verrons ce que le temps apporte

Parce qu'ils en veulent toujours plus

Parce que les gens ne suivent pas (après, après, après,

après)