Behind Every Great Man - The Buttress

Behind men, conspiring

Behind men, conspiring

I’ve been fasting for weeks on these streets

I’m famished like Mollie Fancher and dancers

What I spit committing damage like cancer

With Prancer I’m encroaching on the roof

Approaching with my troop while they snooze in the coop

Buttress the head herald, beware of the barrel

They scared of my ammo, when I rhyme wreck like Steinbeck

I smother faggots like cabbage, take cover

Cause when I ravage and rape, bring the wrath like grapes

I establish a lax fist to slap dicks and smack bitches

Fuck dishes, I’m behind men conspiring

Perspiring for the time when sirens whine in the city

With crowds popping off like hymens to get shitty

About to go Rousseau on these hoes, primitive

Flow’s unlimited, don’t know the definition of timid

Took a switch to the lethargic to kick start a bitch

But they targeted the artist, burnt the kid like a witch

You fucking snitch!

Hit you harder than a dead wife flashback

Bring the strife to your life like dynamite in the knapsack

It’s the granny with the heart of brick, the nanny with the arsenic

Cathartic bitch, I’m starting shit

The evil that resides in men’s minds, I harness it

Mothers smother young ones with covers

Forlorn lovers mourn the stillborn

You’ve been warned, beware of the woman scorned

On missions having visions, Hildegard von Bingen bitch

I bring 'em in the ring with men

I’m leading them, relieving them of grievances

A logical bitch, the logicalest

Spending skrilla with Lillith, it’s the prodigal witch

Decked out in ringers crimson, harbinger of evil women

Singing sinful hymns with demons, we got 'em screaming for Jesus

They need us like preachers, believe us, the reapers

They’re crying from the lions den, weeping from bleachers

No sleep for the weak ones, shit is tiring

But no rest for the wicked, I’m behind men conspiring

Derrière les hommes, conspirant

Derrière les hommes, conspirant

Je jeûne depuis des semaines dans ces rues

Je suis affamé comme Mollie Fancher et les danseurs

Ce que je crache en commettant des dommages comme le cancer

Avec Prancer j'empiète sur le toit

J'approche avec ma troupe pendant qu'ils dorment dans le poulailler

Contrefort le héraut en chef, méfiez-vous du tonneau

Ils ont peur de mes munitions, quand je rime épave comme Steinbeck

J'étouffe les pédés comme du chou, mets-toi à l'abri

Parce que quand je ravage et viole, apporte la colère comme des raisins

J'établis un poing relâché pour gifler des bites et gifler des chiennes

Fuck les plats, j'suis derrière les hommes qui conspirent

Transpirant pour le moment où les sirènes gémissent dans la ville

Avec des foules qui surgissent comme des hymens pour devenir merdiques

Sur le point d'aller Rousseau sur ces houes, primitif

Le flux est illimité, je ne connais pas la définition de timide

J'ai passé à la léthargie pour démarrer une chienne

Mais ils ont ciblé l'artiste, brûlé le gamin comme une sorcière

Putain de mouchard !

Je te frappe plus fort qu'un flashback de femme morte

Amenez le conflit dans votre vie comme de la dynamite dans le sac à dos

C'est la mamie au coeur de brique, la nounou à l'arsenic

Salope cathartique, je commence la merde

Le mal qui réside dans l'esprit des hommes, je l'exploite

Les mères étouffent les jeunes avec des couvertures

Les amants désespérés pleurent le mort-né

Vous êtes prévenu, méfiez-vous de la femme méprisée

En missions ayant des visions, Hildegard von Bingen chienne

Je les amène sur le ring avec des hommes

Je les dirige, les soulageant de leurs griefs

Une salope logique, la plus logique

Dépenser skrilla avec Lillith, c'est la sorcière prodigue

Paré de sonneries cramoisies, signe avant-coureur de femmes maléfiques

Chantant des hymnes pécheurs avec des démons, nous les avons fait crier pour Jésus

Ils ont besoin de nous comme des prédicateurs, croyez-nous, les faucheurs

Ils pleurent depuis la fosse aux lions, pleurent depuis les gradins

Pas de sommeil pour les faibles, la merde est fatigante

Mais pas de repos pour les méchants, je suis derrière des hommes qui conspirent