Jocko and the Trapeze Lady - The Kingston Trio

He was a boy when the circus first came to the dust of his West Texas town

And twenty years later, he’d spent twenty years as Jocko the Sad Circus Clown

He did slap-stick gags in grease paint and rags and the people would laugh 'til

they cried

But they never saw past the painted clown mask to the sad, empty man locked

inside

The trapeze lady swung easy and gracefully, high in the high trapeze swing

Her parents were flyers.

The circus was her life.

The carny was deep in her

veins

High in the spotlights in sequins and pink tights, she flew like a bird in the

wind

The saw dust’s on daughter, the strong men who caught her were all that she

brought to her tent

Jocko worked down with the center ring clowns with a sad painted smile on his

face

And the trapeze lady swung easy and gracefully high in the great canvas space

Jocko looked up with a tear in his heart and, Lord, he wished he could fly

For she never looked down at a baggy pants clown who looked up with love in his

eyes

It was Tulsa, the last stop, the last show of the big top, a loud,

sell-out crowd filled the seats

They clapped for the walk-around and cheered for the clowns.

The fliers brought

them to their feet

Then a still half-lit match fell in tender dry grass and soon found the dry saw

dust floor

The flames leaped higher.

When the people heard, «Fire!»

they swept like a wave

for the door

Jocko looked up to the top of the tent and a hundred feet from the ground

Swung the trapeze lady, up on the high swing, alone, with no way to get down

He ran to the ladder that led to the platform, she cried, «Jocko, no!

There’s no time!»

But her quick word of fear fell deaf on love’s ear as slowly he started to climb

Hand over hand to the high flier’s stand, taking the rope that hung there

With one quick look down, the sad circus clown looked up and took to the air

Slow then slowly he started to swing, his eyes turned to tears in the smoke

Faster then faster and as he swung past her, her strong flier hands found the

rope

She slipped to the ground as the flames found the rigging and licked at the

rope that he held

He’d started below when the rigging let go and down to the saw dust he fell

She ran to his side and with tears in her eyes, «Oh, no!

Jocko, why?»

she cried

He raised his sad head.

«I loved you,» he said and he closed his eyes and he

died

Now, the trapeze lady swings easy and gracefully high in the great canvass space

But a place and a time are still etched in her mind of a smile painted on a sad

face

And she sometimes looks down to the center ring clowns for someone she never

has found

For she still remembers the time when love came to her wearing the face of a

clown

C'était un garçon quand le cirque est arrivé pour la première fois dans la poussière de sa ville de l'ouest du Texas

Et vingt ans plus tard, il avait passé vingt ans en tant que Jocko le triste clown de cirque

Il faisait des bâillons avec de la peinture grasse et des chiffons et les gens riaient jusqu'à

ils ont pleuré

Mais ils n'ont jamais vu au-delà du masque de clown peint l'homme triste et vide enfermé

à l'intérieur

La dame du trapèze s'est balancée facilement et gracieusement, haut dans le swing du trapèze haut

Ses parents étaient des flyers.

Le cirque était sa vie.

Le carny était au fond d'elle

veines

Haut sous les projecteurs en paillettes et collants roses, elle a volé comme un oiseau dans le

vent

La sciure est sur sa fille, les hommes forts qui l'ont attrapée étaient tout ce qu'elle

amené dans sa tente

Jocko a travaillé avec les clowns du ring central avec un sourire peint triste sur son

Visage

Et la trapéziste s'est balancée facilement et gracieusement haut dans le grand espace de toile

Jocko leva les yeux avec une larme au cœur et, Seigneur, il souhaitait pouvoir voler

Car elle n'a jamais baissé les yeux sur un clown baggy qui a levé les yeux avec amour dans son

les yeux

C'était Tulsa, le dernier arrêt, le dernier spectacle du chapiteau, un fort,

la foule à guichets fermés a rempli les sièges

Ils ont applaudi pour la promenade et ont applaudi pour les clowns.

Les dépliants ont apporté

les mettre sur leurs pieds

Puis une allumette encore à moitié allumée tomba dans l'herbe sèche et tendre et trouva bientôt la scie sèche

sol poussiéreux

Les flammes ont bondi plus haut.

Quand les gens ont entendu "Au feu !"

ils ont balayé comme une vague

pour la porte

Jocko leva les yeux vers le haut de la tente et à cent pieds du sol

J'ai balancé la dame du trapèze, sur la balançoire haute, seule, sans aucun moyen de descendre

Il a couru vers l'échelle qui menait à la plate-forme, elle a crié : "Jocko, non !

Il n'y a pas de temps!"

Mais son rapide mot de peur est tombé sourd à l'oreille de l'amour alors qu'il commençait lentement à grimper

Passez la main au stand du haut voleur, en prenant la corde qui y était suspendue

D'un coup d'œil rapide vers le bas, le triste clown de cirque a levé les yeux et s'est envolé

Lent puis lentement, il a commencé à se balancer, ses yeux se sont transformés en larmes dans la fumée

De plus en plus vite et alors qu'il la dépassait, ses fortes mains de pilote trouvèrent le

corde

Elle a glissé au sol lorsque les flammes ont trouvé le gréement et ont léché le

corde qu'il tenait

Il avait commencé en dessous lorsque le gréement a lâché et jusqu'à la sciure de bois qu'il est tombé

Elle courut à ses côtés et, les larmes aux yeux, "Oh, non !

Jocko, pourquoi ?"

elle a pleuré

Il leva sa tête triste.

« Je t'aimais », dit-il et il ferma les yeux et il

décédés

Maintenant, la dame du trapèze se balance facilement et gracieusement haut dans le grand espace de toile

Mais un lieu et un moment sont encore gravés dans son esprit d'un sourire peint sur un triste

Visage

Et elle regarde parfois les clowns du ring central pour quelqu'un qu'elle n'a jamais

a trouvé

Car elle se souvient encore du moment où l'amour lui est venu portant le visage d'un

clown