The Blackbird of Sweet Avondale - The Wolfe Tones

In the fair bay of Dublin, while carelessly strolling

I sat myself down near a clear crystal stream

Reclined on the beach, in wild accents deploring

In sorrow condoling, I heard a fair maid

Her hopes changed to mourning, that once were so glorious

I stood in amazement to hear her sad tale

Her heartstrings were torn in wild accents so glorious

Saying, «Where is my blackbird of sweet Avondale?»

«In the fair counties Kerry, true Cork, and Tipperary

The rights of Old Ireland, my blackbird did sing

But woe to the hour, with the dark lights in Derry

When he from my arms to Dublin took way»

«Oh heaven, give ear to my supplication

And strengthen the bold songs of old Granuaile

And promise that my country will soon be a nation

And bring back my blackbird of sweet Avondale»

«Oh, Erin, my country, awake from your slumbers

And bring back my blackbird, so dear unto me

And let everyone know, by the strength of your numbers

That we, as a nation, would like to be free»

Dans la belle baie de Dublin, en se promenant négligemment

Je me suis assis près d'un ruisseau de cristal clair

Allongé sur la plage, aux accents sauvages déplorant

Dans le chagrin des condoléances, j'ai entendu une belle femme de chambre

Ses espoirs se sont changés en deuil, qui était autrefois si glorieux

Je suis resté étonné d'entendre sa triste histoire

Ses cordes sensibles étaient déchirées par des accents sauvages si glorieux

Dire : " Où est mon merle de la douce Avondale ?"

"Dans les beaux comtés de Kerry, True Cork et Tipperary

Les droits de la vieille Irlande, mon merle a chanté

Mais malheur à l'heure, avec les lumières sombres de Derry

Quand il de mes bras à Dublin a pris le chemin »

"Ô ciel, prête l'oreille à ma supplique

Et renforce les chansons audacieuses du vieux Granuaile

Et promets que mon pays sera bientôt une nation

Et ramène mon merle de la douce Avondale »

"Oh, Erin, mon pays, réveille-toi de ton sommeil

Et ramène mon merle, qui m'est si cher

Et faites savoir à tout le monde, par la force de vos chiffres

Que nous, en tant que nation, aimerions être libres »