Voici les paroles de la chanson : Когда-нибудь , artiste : Вася Обломов Avec traduction
Texte original avec traduction
Вася Обломов
Подруга дурнее лицом, поселись в деревне.
Зеркальце там не слыхало ни о какой царевне.
Речка тоже шумит и земля в морщинах
И думать, поди, забыла о своих мужчинах.
Там одни пацаны, от кого рожают,
Знают лишь те, которые их сажают.
Либо никто, либо в углу иконы
И весною пахать выходят одни законы.
Езжай в деревню, подруга, в поле, тем паче, в рощу,
Землю смотреть и одеваться проще,
Там у тебя одной на сто вёрст помада,
Но вынимать её всё равно не надо.
Знаешь, лучше стареть там, где верста маячит,
Где красота ничего не значит.
Или значит не молодость, титьку, семя,
Потому что природа вообще всё время.
Это, как знать даст, побороть унылость,
И леса там тоже шумят, что уже случилось всё.
И при том не раз, и сумма случившегося есть источник шума.
Лучше стареть в деревне, даже живя отдельной жизнью.
Там различишь нательный крестик,
В драной березке, в стебле, пастушьей сумке.
В том, что порхает всего лишь сутки
И я приеду к тебе, и в этом, и я приеду.
Усмотри не свою, но этих вещей, победу,
Ибо земле, как той простыне, понятен язык не столько любви,
Сколько выбоин, впадин и вмятин.
И пусть не приеду, любая из этих рытвин,
Либо воды в колодези привкус бритвен.
Прутья, обочины, хаос кочек,
Всё-таки я то, чего не хочешь.
Езжая в деревню, подруга, знаешь, дурнее лица,
Лишь подтверждают, что можно слиться.
Разными способами, их — бездны,
И нам, дорогая, не все известны.
Знаешь пейзаж, то, чего не знаешь,
Когда-нибудь, в серую краску уставясь взглядом,
Ты узнаешь себя и серую краску рядом.
Petite amie avec une mauvaise gueule, s'installe au village.
Le miroir n'a entendu parler d'aucune princesse.
La rivière est aussi bruyante et la terre est ridée
Et dire, je suppose, que j'ai oublié mes hommes.
Il n'y a que des garçons dont elles enfantent,
Seuls ceux qui les emprisonnent le savent.
Soit personne, soit dans le coin de l'icône
Et au printemps, seules les lois sortent pour labourer.
Va au village, copine, au champ, encore plus, au bosquet,
La terre est plus facile à regarder et à habiller,
Là, vous avez cent miles de rouge à lèvres,
Mais vous n'avez toujours pas besoin de le retirer.
Tu sais, il vaut mieux vieillir là où la verste se profile,
Où la beauté ne veut rien dire.
Ou cela signifie pas jeunesse, mésange, graine,
Parce que la nature est tout le temps.
Cela, comme vous le savez, vous permettra de surmonter le découragement,
Et les forêts y sont aussi bruyantes, que tout s'est déjà passé.
Et plus d'une fois, et la somme de ce qui s'est passé est une source de bruit.
Il vaut mieux vieillir au village, voire mener une vie à part.
Vous y distinguerez une croix pectorale,
Dans un bouleau en lambeaux, dans une tige, un sac de berger.
Dans ce qui flotte seulement un jour
Et je viendrai à toi, et en cela, et je viendrai.
Ne voyez pas les vôtres, mais ces choses, la victoire,
Car la terre, comme cette feuille, ne comprend pas tant le langage de l'amour,
Combien de nids-de-poule, de dépressions et de bosses.
Et même si je ne viens pas, aucun de ces nids de poule,
Ou l'eau du puits a un goût de rasoir.
Bars, bords de route, chaos de bosses,
Pourtant, je suis ce que tu ne veux pas.
Aller au village, une amie, tu sais, est plus laide que son visage,
Ils confirment seulement qu'il est possible de fusionner.
À bien des égards, ce sont des abîmes,
Et nous, mon cher, ne savons pas tout.
Tu connais le paysage, ce que tu ne sais pas
Un jour, fixant la peinture grise,
Vous vous reconnaissez ainsi que la peinture grise à proximité.
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