А помнишь? - Виктор Королёв

Там, за туманными лицами снов, там с тобой мы увидимся вновь.

Я волос твоих нежно коснусь и, во сне улыбаясь, проснусь.

Здесь на часах стрелки вертит судьба, здесь мне так не хватает тебя,

Я любви вспоминать не боюсь, мне нужна эта светлая грусть.

Припев:

А помнишь, бесконечным был рассвет и полевых ромашек белый цвет!

А помнишь, нам не надо было слов, по взглядам понимали мы любовь.

А помнишь парусами облака неслись куда-то вдаль издалека!

А помнишь, как мы верили тогда, что счастье будет с нами навсегда!

Там, там за стенами дней и ночей, там, где прошлого замок ничей,

Мы ушли из него, а теперь кто закроет открытую дверь?

Здесь, здесь построены в завтра мосты, от надежды до новой мечты.

Пусть по ним мы не вместе идем, нелегко вспоминать о былом.

Припев:

А помнишь, бесконечным был рассвет и полевых ромашек белый цвет!

А помнишь, нам не надо было слов, по взглядам понимали мы любовь.

А помнишь парусами облака неслись куда-то вдаль издалека!

А помнишь, как мы верили тогда, что счастье будет с нами навсегда!

А помнишь, бесконечным был рассвет и полевых ромашек белый цвет!

А помнишь, нам не надо было слов, по взглядам понимали мы любовь.

А помнишь парусами облака неслись куда-то вдаль издалека!

А помнишь, как мы верили тогда, что счастье будет с нами навсегда!

А помнишь, бесконечным был рассвет и полевых ромашек белый цвет!

А помнишь, нам не надо было слов, по взглядам понимали мы любовь.

А помнишь парусами облака неслись куда-то вдаль издалека!

А помнишь, как мы верили тогда, что счастье будет с нами навсегда, навсегда!

Là, derrière les visages brumeux des rêves, là nous vous reverrons.

Je toucherai doucement tes cheveux et, souriant dans un rêve, je me réveillerai.

Ici le destin tourne les aiguilles de l'horloge, ici tu me manques tellement,

Je n'ai pas peur de me souvenir de l'amour, j'ai besoin de cette tristesse éclatante.

Refrain:

Souvenez-vous, l'aube était sans fin et les marguerites des champs étaient blanches !

Et rappelez-vous, nous n'avions pas besoin de mots, nous comprenions l'amour par nos regards.

Vous souvenez-vous des nuages ​​se précipitant avec des voiles quelque part très loin !

Vous rappelez-vous comment nous avons cru alors que le bonheur serait avec nous pour toujours !

Là, là derrière les murs des jours et des nuits, où personne n'a de château du passé,

Nous l'avons laissé, et maintenant qui fermera la porte ouverte ?

Ici, ici des ponts se construisent dans demain, de l'espoir à un nouveau rêve.

Même si nous ne les parcourons pas, il n'est pas facile de se souvenir du passé.

Refrain:

Souvenez-vous, l'aube était sans fin et les marguerites des champs étaient blanches !

Et rappelez-vous, nous n'avions pas besoin de mots, nous comprenions l'amour par nos regards.

Vous souvenez-vous des nuages ​​se précipitant avec des voiles quelque part très loin !

Vous rappelez-vous comment nous avons cru alors que le bonheur serait avec nous pour toujours !

Souvenez-vous, l'aube était sans fin et les marguerites des champs étaient blanches !

Et rappelez-vous, nous n'avions pas besoin de mots, nous comprenions l'amour par nos regards.

Vous souvenez-vous des nuages ​​se précipitant avec des voiles quelque part très loin !

Vous rappelez-vous comment nous avons cru alors que le bonheur serait avec nous pour toujours !

Souvenez-vous, l'aube était sans fin et les marguerites des champs étaient blanches !

Et rappelez-vous, nous n'avions pas besoin de mots, nous comprenions l'amour par nos regards.

Vous souvenez-vous des nuages ​​se précipitant avec des voiles quelque part très loin !

Vous souvenez-vous comment nous avons cru alors que le bonheur serait avec nous pour toujours, pour toujours !