The Archive - Wormwood

But carved in flesh and the soul of the earth

The whispers of the wind will cease to be

All we hear is the wailing of the oceans plea

If life by the miracle of death will rise again

When our monuments lay in ruins, we’re the ones to blame

As the last rays of the dying daylight fade

Remember that our perseverance was in vain

Th shrunken corpses of our loved ons are the heirlooms we leave for no one to

witness

— Are we the creators of an avoidable end, or are we the parasites that are

destined to fail?

A final wish to preserve our memories

One last breath, One last regret

And with this final message to the future we’ll never see

A final wish to preserve our memories

Man deserves to die

Crack the ribcage of Gaia

Expose the rot which is us

We poisoned the well a millennia ago

And forced everyone to drink

Now let us drown

Breath in and forget

The fault that which is us

We are the ghosts of the past

Remembered by the few who last

Mais sculpté dans la chair et l'âme de la terre

Les murmures du vent cesseront d'être

Tout ce que nous entendons, c'est le gémissement de l'appel des océans

Si la vie par le miracle de la mort ressuscitera

Quand nos monuments sont en ruines, nous sommes les seuls à blâmer

Alors que les derniers rayons de la lumière du jour mourante s'estompent

Rappelez-vous que notre persévérance a été vaine

Les cadavres rétrécis de nos proches sont les héritages que nous ne laissons à personne

témoin

— Sommes-nous les créateurs d'une fin évitable, ou sommes-nous les parasites qui sont

voué à l'échec ?

Un dernier souhait de préserver nos souvenirs

Un dernier souffle, un dernier regret

Et avec ce dernier message à l'avenir que nous ne verrons jamais

Un dernier souhait de préserver nos souvenirs

L'homme mérite de mourir

Casser la cage thoracique de Gaia

Exposer la pourriture qui est nous

Nous avons empoisonné le puits il y a des millénaires

Et forcé tout le monde à boire

Maintenant, noyons-nous

Respirez et oubliez

La faute à ce qui est nous

Nous sommes les fantômes du passé

Rappelé par les rares qui durent