Стоп-кадр - Жак Энтони

Я вижу, как дым в глазах, глядя поднимает её вверх.

Она хочет сзади, она любит мой О, но не любит меня.

Ей так хорошо, она хочет еще.

Черчу порошек, отправляю шалаву домой.

Пора на дела нужно больше дерьма, нужно больше бабла!

Мой рэп — мой огонь, я скоро сгорю в нём,

Пока я лишь тлею, как блант.

Еще не взорвал, но тлею, как блант.

Тот самый талант, о котором все знают, но не говорят.

Я вроде добрался до ширмы успеха, и снова упал —

Так и не увидев там ничего, может там и правда нет ничего…

Я не выбирал тут четкого стиля себе, так как я могу все.

Нищета делает жадным,

Мир океан — выросли жабры.

Время не жаль мне,

Если бы мог — неприменно сбежал бы!

К черту весь этот мир, я победил всех их один.

Нахуй ваши понты, все ваши клипы лишь миражи.

Нахуй ваше клише, что-то узнал, что-то забыл —

Я снова наедине с самим собой, и глотаю тут дым.

Припев:

Взлет — спад!

Взлет — спад!

Они мне нахуй так, ниггер.

скажи, нахуй так жить?

Стоп-кадр, стоп-кадр!

Я сгораю, так что буду прожигать эту жизнь.

Второй Куплет: Жак-Энтони

Опять эти толпы бегут и бегут, не врубая куда они.

Я вроде бы с ними, но тут я один, как обычно, вменяемый.

Капли боли по недотрогам, опять одна за одной дороги.

Туман и пепел забрали многих, они решили — все под контролем.

Никто не помнит, раньше было время, когда были рады всему.

Mass media, деньги тянут ко дну.

целей много, никак не выбрать одну.

Я не был в стае, но все же выл на Луну.

Право за тем, у кого через плечо АК-47, или

Просто большой капитал за плечами, большие родители.

Грязи не видели, видели деньги лишь…

Грязь — это деньги, ублюдок, не видели грязи тут дети лишь.

Сны про полеты забыты, забитые псы по парадным

Не ждут никаких перемен и чудес — они ищут тепла там.

Часто ли плакал ты, часто ли падал.

Рвал ли зубами ту падаль, которую тут выдавали за правду?

Припев:

Взлет — спад!

Взлет — спад!

Они мне нахуй так, ниггер.

скажи, нахуй так жить?

Стоп-кадр, стоп-кадр!

Я сгораю, так что буду прожигать эту жизнь.

Je vois comment la fumée dans les yeux, levant les yeux, la soulève.

Elle veut par derrière, elle aime mon O, mais ne m'aime pas.

Elle est si bonne qu'elle en veut plus.

Je puise de la poudre, je renvoie la salope chez elle.

C'est l'heure des affaires, on a besoin de plus de merde, on a besoin de plus de pognon !

Mon rap est mon feu, je vais bientôt y brûler,

Alors que je fume juste comme un émoussé.

Je n'ai pas encore explosé, mais je couve comme un joint.

Le même talent que tout le monde connaît, mais dont on ne parle pas.

Je suis en quelque sorte arrivé à l'écran du succès, et je suis retombé -

Et si vous ne voyez rien là-bas, peut-être qu’il n’y a vraiment rien là-bas…

Je ne me suis pas choisi un style clair ici, car je peux tout faire.

La pauvreté rend gourmand

Le monde est un océan - les branchies ont poussé.

Le temps n'est pas désolé pour moi

Si je pouvais, je m'enfuirais certainement !

Au diable ce monde entier, je les ai vaincus tout seul.

Fuck your show-offs, tous vos clips ne sont que des mirages.

J'emmerde ton cliché, j'ai appris quelque chose, j'ai oublié quelque chose -

Je suis de nouveau seul avec moi-même et me voilà en train d'avaler de la fumée.

Refrain:

Montée - déclin!

Montée - déclin!

Ils me baisent comme ça, négro.

Dis-moi, pourquoi diable vis-tu comme ça ?

Arrêt sur image, arrêt sur image !

Je brûle, alors je vais brûler cette vie.

Deuxième couplet : Jacques-Anthony

Encore une fois ces foules courent et courent sans savoir où elles sont.

J'ai l'impression d'être avec eux, mais me voilà seul, comme d'habitude, sain d'esprit.

Des gouttes de douleur plus difficiles à atteindre, encore une fois une après une route.

Le brouillard et les cendres en ont pris beaucoup, ils ont décidé que tout était sous contrôle.

Personne ne s'en souvient, il fut un temps où tout le monde était content de tout.

Médias de masse, l'argent coule.

il y a beaucoup d'objectifs, il n'y a aucun moyen d'en choisir un.

Je n'étais pas dans la meute, mais j'ai quand même hurlé à la lune.

Le droit appartient à ceux qui ont un AK-47 sur l'épaule, ou

Juste gros capital derrière, gros parents.

Ils n'ont pas vu de saleté, ils n'ont vu que de l'argent ...

La saleté c'est de l'argent, bâtard, seuls les enfants ici n'ont pas vu la saleté.

Les rêves d'avions sont oubliés, les chiens abattus sur le front

Ils ne s'attendent à aucun changement ni miracle - ils y recherchent de la chaleur.

Combien de fois avez-vous pleuré, combien de fois êtes-vous tombé.

Avez-vous déchiré avec vos dents la charogne qui a été présentée ici comme la vérité ?

Refrain:

Montée - déclin!

Montée - déclin!

Ils me baisent comme ça, négro.

Dis-moi, pourquoi diable vis-tu comme ça ?

Arrêt sur image, arrêt sur image !

Je brûle, alors je vais brûler cette vie.