Про нас (Остывший чай) - Евгений Григорьев – Жека

Как жаль, не выпало нам случая,

Тебя мне раньше повстречать,

Смахнуть, все, что сейчас нас мучает,

Как лист осенний с мокрого плеча.

И мы как дети, прогулявшие,

С весною вместе свой урок,

Должны придумать оправдание

Для тех, кто нас давно читает между строк.

Припев:

Пряча крылья за спиной, тем, что было не дыша,

Каждый по своим домам едем заспеша.

Чтоб, не поднимая глаз, там пить давно остывший чай,

И опять про нас, про нас, думать невзначай.

Про нас, что друг у друга спрятаны,

Пьянящим небом в тайниках,

Его, воруя, тихой сапою,

Летаем тайно в наших облаках.

И так из облаков домой не хочется,

Вновь приземляться в будни пустоты,

Где лист осенний кружит в одиночестве,

И чай на кухне, что давно остыл.

Припев:

Пряча крылья за спиной, тем, что было не дыша,

Каждый по своим домам едем заспеша.

Чтоб, не поднимая глаз, там пить давно остывший чай,

И опять про нас, про нас, думать невзначай.

Пряча крылья за спиной, тем, что было не дыша,

Каждый по своим домам едем заспеша.

Чтоб, не поднимая глаз, там пить давно остывший чай,

И опять про нас, про нас, думать невзначай.

Quel dommage que nous n'ayons pas eu la chance

Je te rencontrerai plus tôt

Balayer, tout ce qui nous tourmente maintenant,

Comme une feuille d'automne d'une épaule mouillée.

Et nous sommes comme des enfants qui se promènent,

Avec le printemps, avec ta leçon,

Je dois trouver une excuse

Pour ceux qui lisent entre les lignes depuis longtemps.

Refrain:

Cachant les ailes derrière le dos, avec ce qui ne respirait pas,

Chacun rentre chez lui en hâte.

Pour que, sans lever les yeux, vous puissiez y boire du thé longtemps refroidi,

Et encore une fois à propos de nous, à propos de nous, pensez avec désinvolture.

A propos de nous qui sont cachés les uns des autres,

Ciel enivrant dans les cachettes,

Lui, voleur, sournois,

Nous volons secrètement dans nos nuages.

Et donc des nuages ​​je ne veux pas rentrer à la maison,

Pour atterrir à nouveau les jours de semaine de vide,

Où la feuille d'automne tourne seule,

Et du thé dans la cuisine, qui s'est longtemps refroidi.

Refrain:

Cachant les ailes derrière le dos, avec ce qui ne respirait pas,

Chacun rentre chez lui en hâte.

Pour que, sans lever les yeux, vous puissiez y boire du thé longtemps refroidi,

Et encore une fois à propos de nous, à propos de nous, pensez avec désinvolture.

Cachant les ailes derrière le dos, avec ce qui ne respirait pas,

Chacun rentre chez lui en hâte.

Pour que, sans lever les yeux, vous puissiez y boire du thé longtemps refroidi,

Et encore une fois à propos de nous, à propos de nous, pensez avec désinvolture.