Voici les paroles de la chanson : Серёга, Серёга , artiste : Михаил Михайлов Avec traduction
Texte original avec traduction
Михаил Михайлов
Я хочу рассказать вам историю
О Серёге, что был дружбаном.
Как гоняли с ним по околицам,
Пели песни, пугали ворон.
Вместе в армию нас призывали,
Вместе в Грозный колонной вошли,
Но тогда ничего мы не знали,
Что нас ждало ещё на пути.
В Новый год нас забросили в город,
Приказали идти напролом.
До костей пробирал лютый холод,
И опасность таил каждый дом.
Как хотелось тогда домой к маме,
Крепко к сердцу родную прижать…
Только взрывы мечту прерывали.
Не хотелось нам всем умирать.
Припев:
Серёга, Серёга, ты был мне как брат.
Ты погиб, а я выжил.
Почему вышло так?..
О тебе эту песню я сегодня пою.
Ты остался героем и всё так же в строю.
Помню, как из горящего танка
Ты меня на руках выносил.
Стиснув зубы, забыв о ранении,
Ты тащил, выбиваясь из сил.
А снаряды свистели как ветер,
И не было страху конца.
Пуля в сердце твоё угодила,
И улыбка исчезла с лица.
Припев.
Очень часто в кругу собираясь,
И всё так же по-братски любя,
За спасителя, за героя,
Поднимаю я тост за тебя!
Je veux te raconter une histoire
À propos de Seryoga, qui était un ami.
Comment ils ont conduit avec lui dans la périphérie,
Ils ont chanté des chansons, effrayé les corbeaux.
Ensemble, nous avons été enrôlés dans l'armée,
Ensemble, ils sont entrés dans Grozny en colonne,
Mais alors nous ne savions rien
Ce qui nous attendait sur le chemin.
Au Nouvel An, nous avons été jetés dans la ville,
Ils ont reçu l'ordre d'aller de l'avant.
Un froid intense a pénétré jusqu'aux os,
Et chaque maison était en danger.
Comment je voulais rentrer chez ma mère alors,
Tenez votre bien-aimé fermement sur votre cœur ...
Seules des explosions interrompirent le rêve.
Nous ne voulions pas mourir.
Refrain:
Seryoga, Seryoga, tu étais comme un frère pour moi.
Tu es mort et j'ai survécu.
Pourquoi est-ce arrivé? ..
Je chante cette chanson sur toi aujourd'hui.
Tu es resté un héros et toujours dans les rangs.
Je me souviens comment d'un réservoir en feu
Tu m'as porté dans tes bras.
Serrant les dents, oubliant la blessure,
Tu traînais, épuisé.
Et les coquillages sifflaient comme le vent,
Et il n'y avait pas de fin à la peur.
La balle a touché ton cœur
Et le sourire a disparu de son visage.
Refrain.
Très souvent réunis en cercle,
Et toujours aimant fraternellement,
Pour un sauveur, pour un héros,
Je vous lève un toast !
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes