Voici les paroles de la chanson : Новогодний запой , artiste : Александр Галич Avec traduction
Texte original avec traduction
Александр Галич
По-осеннему деревья налегке,
Керосиновые пятна на реке,
Фиолетовые пятна на воде,
Ты сказала мне тихонько: «Быть беде».
Я позабыл твое лицо,
Я пьян был к полдню,
Я подарил твое кольцо, —
Кому, не помню…
Я подымал тебя на смех,
И врал про что-то,
И сам смеялся больше всех,
И пил без счета.
Из шутовства, из хвастовства
В то — балаганье
Я предал все твои слова
На поруганье.
Качалась пьяная мотня
Вокруг прибойно,
И ты спросила у меня:
«Тебе не больно?»
Не поймешь — не то январь, не то апрель,
Не поймешь — не то метель, не то капель.
На реке не ледостав, не ледоход.
Старый год, а ты сказала — Новый год.
Их век выносит на гора,
И — марш по свету,
Одно отличье — номера,
Другого нету!
О, этот серый частокол —
Двадцатый опус,
Где каждый день, как протокол,
А ночь, как обыск,
Где все зазря, где все не то,
И все не прочно,
Который час, и то никто
Не знает точно.
Лишь неизменен календарь
В приметах века —
Ночная улица.
Фонарь.
Канал.
Аптека…
В этот вечер, не сумевший стать зимой,
Мы дороги не нашли к себе домой,
А спросил тебя: «А может, все не зря?»
Ты ответила — старинным: «Быть нельзя».
En automne les arbres sont légers,
Taches de kérosène sur la rivière
Taches violettes sur l'eau
Tu m'as dit tranquillement : « Il y aura des ennuis.
j'ai oublié ton visage
J'étais ivre à midi,
J'ai donné ta bague -
A qui, je ne me souviens plus...
je t'ai fait rire
Et menti à propos de quelque chose
Et il a le plus ri
Et bu sans compter.
De la bouffonnerie, de la vantardise
Dans ce - farce
J'ai trahi tous tes mots
Pour abus.
Une bobine ivre se balançait
C'est surfeur tout autour
Et tu m'as demandé :
"Es-tu blessé?"
Vous ne comprendrez pas - ce n'est pas janvier, ce n'est pas avril,
Vous ne comprendrez pas - c'est soit un blizzard, soit des gouttes.
Il n'y a pas de gel sur la rivière, pas de dérive des glaces.
Vieille année, et vous avez dit - Nouvelle année.
Leur âge les emmène à la montagne,
Et - une marche à travers le monde,
Une différence réside dans les chiffres
Il n'y en a pas d'autre !
Oh, cette palissade grise -
vingtième opus,
Où chaque jour, comme un protocole,
Et la nuit est comme une recherche,
Où tout est vain, où tout ne va pas,
Et tout n'est pas fort
Quelle heure est-il, et puis personne
Ne sait pas exactement.
Seul le calendrier est inchangé
Dans les signes du siècle -
Rue de la nuit.
Lampe de poche.
Canaliser.
Pharmacie…
Ce soir, qui n'a pas réussi à devenir l'hiver,
Nous n'avons pas trouvé le chemin de notre maison,
Et il vous a demandé : "Peut-être que ce n'est pas en vain ?"
Vous avez répondu - l'ancien: "C'est impossible d'être."
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