Faded years - Agathodaimon
С переводом

Faded years - Agathodaimon

  • Альбом: Serpent's Embrace

  • Année de sortie: 2004
  • Langue: Anglais
  • Durée: 5:40

Voici les paroles de la chanson : Faded years , artiste : Agathodaimon Avec traduction

Paroles : Faded years "

Texte original avec traduction

Faded years

Agathodaimon

Оригинальный текст

To not forget our loving, should I a sign implore?

I’d ask for you, but dearest, you are your own no more

Nor do I beg a flower from in your golden hair

Forgetfulness, beloved is but my single player

Oh what a sad sensation, when joy that soon did wane

Not swift with it to vanish, but ever here remain!

When through tits life to wander it has been writ, it seem

A dream made out of shadow, a shadow made of dream

No matter when I die, this or some later day

My wish is out of the mind of all to I pass away

And you forget the dream that our two hearts endears

When you loom back, beloved, upon the faded years

Let in the depths of shadow my memory be gone

As though we midst our loving each other had not known

A chant of lamentation within cold walls of chime

To beg for me in weeping the peace of endless time

As though those hours of wonder in fact we did not live

That I so deeply love you dear one can you forgive?

My face turned to the desert you left me all alone

And cold beneath my eyelids my eyes have turned to stone

And when at last death’s soil my body does reclaim

Then who will know me or know from whence I came?

Let in the depths of shadow my memory be gone

As though we midst our loving each other had not known

A chant of lamentation within cold walls of chime

To beg for me in weeping the peace of endless time

While then… should they my body into the gutter throw

Still that would be far better than what I suffer now

Afar of in distance a flock of crows arise

And darken all the heavens before my sightless eyes

Beyond the earth’s steep margin a hurricane does start

Flinging to the world my dust and to the wind my heart

Yet as in spring the blossom do you remain the while

With gentle eyes and humid and tender, childish smile

So much a child, yet seeming each day to younger grow

And of my fate know nothing as I too nothing know

My face turned to the desert you left me all alone

And cold beneath my eyelids my eyes have turned to stone

And when at last death’s soil my body does reclaim

Then who will know me or know from whence I came?

While then… should they my body into the gutter throw

Still that would be far better than what I suffer now

Перевод песни

Pour ne pas oublier notre amour, devrais-je un signe implorer ?

Je te demanderais bien, mais ma chérie, tu ne t'appartiens plus

Je ne mendie pas non plus une fleur dans tes cheveux dorés

L'oubli, bien-aimé n'est mais mon solo

Oh quelle triste sensation, quand la joie qui s'est vite estompée

Pas rapide avec elle pour disparaître, mais reste toujours ici !

Quand à travers la vie des seins pour errer, cela a été écrit, il semble

Un rêve fait d'ombre, une ombre faite de rêve

Peu importe quand je mourrai, ce jour-ci ou un jour plus tard

Mon souhait est hors de l'esprit de tous que je meure

Et tu oublies le rêve que nos deux cœurs chérissent

Quand tu reviens, bien-aimé, sur les années passées

Laisse dans les profondeurs de l'ombre ma mémoire s'en aller

Comme si nous n'avions pas su au milieu de notre amour

Un chant de lamentation dans les murs froids du carillon

Pour supplier pour moi en pleurant la paix du temps sans fin

Comme si ces heures d'émerveillement, en fait, nous n'avions pas vécu

Que je t'aime si profondément, mon cher, peux-tu me pardonner ?

Mon visage s'est tourné vers le désert que tu m'as laissé tout seul

Et froid sous mes paupières, mes yeux se sont transformés en pierre

Et quand enfin le sol de la mort mon corps se réapproprie

Alors qui me connaîtra ou saura d'où je viens ?

Laisse dans les profondeurs de l'ombre ma mémoire s'en aller

Comme si nous n'avions pas su au milieu de notre amour

Un chant de lamentation dans les murs froids du carillon

Pour supplier pour moi en pleurant la paix du temps sans fin

Pendant qu'alors… devraient-ils jeter mon corps dans le caniveau

Pourtant, ce serait bien mieux que ce que je souffre maintenant

Au loin, une volée de corbeaux surgit

Et obscurcit tous les cieux devant mes yeux aveugles

Au-delà de la marge abrupte de la Terre, un ouragan commence

Jetant au monde ma poussière et au vent mon cœur

Pourtant, comme au printemps la fleur restes-tu tout le temps

Avec des yeux doux et un sourire humide et tendre d'enfant

Tellement enfant, mais semblant chaque jour rajeunir

Et de mon destin je ne sais rien comme moi aussi je ne sais rien

Mon visage s'est tourné vers le désert que tu m'as laissé tout seul

Et froid sous mes paupières, mes yeux se sont transformés en pierre

Et quand enfin le sol de la mort mon corps se réapproprie

Alors qui me connaîtra ou saura d'où je viens ?

Pendant qu'alors… devraient-ils jeter mon corps dans le caniveau

Pourtant, ce serait bien mieux que ce que je souffre maintenant

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