Riddle of Life - Akala, Ayanna Witter-Johnson

Who can read the riddle of life

It’s a tale told by an idiot, still we can’t figure it

Maybe the simplistic things

That is where the wisdom is

Freedom only has meaning if you know what a prison is

All we see is differences, death don’t distinguish ‘em

Flickering flame to the brightest light it extinguish ‘em

Then its gone little spec gone forever

The soil that covers bones decomposes whoever

Whether you’re rich or you’re clever

A buyer or seller could not trade what they made for another day even as a slave

The heathen is made by believers enraged

As a gauge to find a way, to deceive us in wage

From the, screen to the page, to the wall of a cage

I wonder if what we say

Ever really has changed

Because, we ain’t got a clue from whom that we came

But giving it names is one of the ways that we entertain

Deeper and deeper I go searching for something unknown

Wander the road take my soul standing for something I love

Who can read the riddle of life

I have wondered many times if Shakespeare was right

And it signifies nothing

Just that heaven’s bluffing

But the jokes on us cos we discuss all this deeper stuff

Cos it all just eventually, turns into dust

Must we change our disgust for the lust of depravity?

And adjust our (?) cusp of reality

I ain’t sussed enough to give myself clarity

But I do know enough not to trust any charity

Cos the, language of death

Is spoken, by a golden breath

I know that I am golden but I am not hoping to be next

Yes, I do cling to this vanity

And I dip my pen in the ink of insanity

When mind numbing disparity

Passes as normality

The comedy of history is we don’t see it’s a tragedy

Who can read the riddle of life

We ain’t given equipment for recognising the signs

So lines are unclear

Trying to undo tears is near enough impossible

We’re clung to fear

The cost of letting go, is less than we know

But still, it’s way more than we are willing to show

So we cling harder, my mother and my father

As if, they’re the only ones that gave birth to a child

They say, life is a gift but I don’t know if it is

Not because I’m pissed I literally don’t know what it is

Are we spirits from another realm cast down into this world?

Or just animals focused on how we feed ourselves

Heaven or hell what’s the perspective?

A strong desire to return to the source and we call it a death wish

But maybe, they have just settled the riddle

No beginning or end but there’s a life in the middle

Qui peut lire l'énigme de la vie

C'est une histoire racontée par un idiot, mais nous ne pouvons toujours pas comprendre

Peut-être les choses simplistes

C'est là que se trouve la sagesse

La liberté n'a de sens que si vous savez ce qu'est une prison

Tout ce que nous voyons, ce sont des différences, la mort ne les distingue pas

La flamme vacillante à la lumière la plus brillante les éteint

Puis sa petite spécification est partie pour toujours

Le sol qui recouvre les os décompose quiconque

Que vous soyez riche ou intelligent

Un acheteur ou un vendeur ne pouvait pas échanger ce qu'il avait fait pour un autre jour, même en tant qu'esclave

Les païens sont créés par des croyants enragés

Comme une jauge pour trouver un moyen, pour nous tromper en salaire

De l'écran à la page, au mur d'une cage

Je me demande si ce que nous disons

Jamais vraiment changé

Parce que nous n'avons aucune idée de qui nous venons

Mais lui donner des noms est l'une des manières dont nous divertissons

De plus en plus profond je vais chercher quelque chose d'inconnu

Promenez-vous sur la route, prenez mon âme debout pour quelque chose que j'aime

Qui peut lire l'énigme de la vie

Je me suis souvent demandé si Shakespeare avait raison

Et cela ne signifie rien

Juste que le paradis bluffe

Mais les blagues sur nous parce que nous discutons de toutes ces choses plus profondes

Parce que tout finit par se transformer en poussière

Devons-nous changer notre dégoût pour le désir de la dépravation ?

Et ajuster notre (?) point de réalité

Je n'ai pas assez compris pour me donner de la clarté

Mais j'en sais assez pour ne faire confiance à aucune association caritative

Parce que la langue de la mort

Est parlé, par un souffle d'or

Je sais que je suis en or mais je n'espère pas être le prochain

Oui, je m'accroche à cette vanité

Et je trempe ma plume dans l'encre de la folie

Quand la disparité abrutissante

Passe comme la normalité

La comédie de l'histoire, c'est qu'on ne voit pas que c'est une tragédie

Qui peut lire l'énigme de la vie

On ne nous donne pas d'équipement pour reconnaître les signes

Les lignes ne sont donc pas claires

Essayer de défaire des larmes est presque impossible

Nous sommes accrochés à la peur

Le coût du lâcher prise est inférieur à ce que nous savons

Mais c'est quand même bien plus que ce que nous sommes prêts à montrer

Alors on s'accroche plus fort, ma mère et mon père

Comme si elles étaient les seules à avoir donné naissance à un enfant

Ils disent que la vie est un cadeau mais je ne sais pas si c'est le cas

Pas parce que je suis énervé, je ne sais littéralement pas ce que c'est

Sommes-nous des esprits d'un autre royaume jetés dans ce monde ?

Ou juste des animaux concentrés sur la façon dont nous nous nourrissons

Paradis ou enfer, quelle est la perspective ?

Un fort désir de retourner à la source et nous appelons ça un souhait de mort

Mais peut-être qu'ils viennent de régler l'énigme

Pas de début ni de fin mais il y a une vie au milieu