Sometimes - Akala

When I feel like «fuck it I’ve had enough»

Might as well bury my head in the sand and run from the world

No music or politics, I’m done with all of it, I just can’t take no more

It’s easy to let the world get you down

Look around

It seems that every towns

The haves, the have nots

Lives we admire

Rags to rags lot that never climb higher

We’re on a ladder of life, the ladder of success

The ladder of fucking over other people the best

It’s a game of chess, where the pawns get sacrificed

They got limited movement and their on the frontline

Yeah, the game’s rigged from the start

This we know in our heart

Yet we pick up the dice and play a part

But would it be better to act like a spoilt little brat?

Kick over the whole game with no shame

«I ain’t playin' if I can’t win»

Prayin' if I can’t sin

What is a wife saying to a daft king?

Not much, power’s fucked

I know it runs the world, sometimes it’s too much

Like «fuck it I’ve had enough»

Might as well bury my head in the sand and run from the world

No music or politics, I’m done with all of it, I just can’t take no more

When I feel like «fuck it I’ve had enough» x3

In the end I’m like «Shutup you coward, just suck it all up»

Can’t sleep, my mind’s runnin'

On a path of it’s own and I ain’t sure that I’m even comin'

All night I been tryna get a wink

The sun comes up now and I ain’t had a blink

I think too bloody much

All the voices go around in my mind and I can’t shut 'em up

They say «ignorance is bliss»

I ain’t sayin' it is

On those nights when I can’t shut off, I get pissed

For me, this is most nights of the week

If we look at the world then how could we sleep?

See in my deeper moments

I can only keep the on what is wrong with the world and we can’t even solve it

Like we ain’t involved with anything promoted than to focus on our own little

selves

The rest can go to hell

How do I know it so well?

It’s me

Specially at those times I wanna flee from reality

Like «fuck it I’ve had enough»

Might as well bury my head in the sand and run from the world

No music or politics, I’m done with all of it, I just can’t take no more

When I feel like «fuck it I’ve had enough» x3

In the end I’m like «Shutup you coward, just suck it all up»

The road to depression I’m guessin' is oiled by a choked expression

And of course naked oppression

The lessons we’re supposed to learn, is not possible

Cause you are not a fool and the teacher’s horrible

So what choice left is there for sensitive souls?

Fight the power or let it swallow us whole?

It is easily done, look what we’ve become

If we could, I’m sure we’d find a way to put out the sun

Sometimes when I feel like collapsin'

Or giving in to the times that I’m trapped in

I contemplate all the others overcoming their fears

Fighting battles far harder so that I could be here

Then I feel like the silly little boy that I am

Count my blessings in the moment and get back tothe plan

Inspiration is the strangest thing

How it travels one spirit to another, transforms how we think

I know spirit is a dirty word, in this world obsessed with what we have and

what do we earn

But its the only way to explain the voices inside of you

Only satisfied when you are inspired to

Its the reason when we feel we’ve had enough, always in the end we manage to

get back up

Like «fuck it I’ve had enough»

Might as well bury my head in the sand and run from the world

No music or politics, I’m done with all of it, I just can’t take no more

When I feel like «fuck it I’ve had enough» x3

In the end I’m like «Shutup you coward, just suck it all up»

Life is hard, life is beautiful

Life is strange, and life is unusual

If life’s a stage, then who wrote the musical?

(Who wrote the musical?)

Quand j'ai envie de "merde, j'en ai assez"

Autant m'enfouir la tête dans le sable et fuir le monde

Pas de musique ni de politique, j'en ai fini avec tout ça, je n'en peux plus

C'est facile de laisser le monde vous abattre

Regardez autour de vous

Il semble que toutes les villes

Les nantis, les démunis

Des vies que nous admirons

Lot de chiffons en chiffons qui ne montent jamais plus haut

Nous sommes sur une échelle de la vie, l'échelle du succès

L'échelle de la baise sur les autres le meilleur

C'est un jeu d'échecs, où les pions sont sacrifiés

Ils ont des mouvements limités et ils sont en première ligne

Ouais, le jeu est truqué depuis le début

Ce que nous savons dans notre cœur

Pourtant, nous prenons les dés et jouons un rôle

Mais serait-il mieux d'agir comme un petit gamin gâté ?

Écrasez tout le jeu sans honte

"Je ne joue pas si je ne peux pas gagner"

Prier si je ne peux pas pécher

Qu'est-ce qu'une femme dit à un roi stupide ?

Pas grand-chose, le pouvoir est foutu

Je sais que ça dirige le monde, parfois c'est trop

Genre "merde j'en ai assez"

Autant m'enfouir la tête dans le sable et fuir le monde

Pas de musique ni de politique, j'en ai fini avec tout ça, je n'en peux plus

Quand j'ai envie de "merde, j'en ai assez" x3

À la fin, je me dis "La ferme, lâche, suce tout"

Je ne peux pas dormir, mon esprit tourne

Sur un chemin qui lui est propre et je ne suis même pas sûr d'arriver

Toute la nuit j'ai essayé d'avoir un clin d'œil

Le soleil se lève maintenant et je n'ai pas cligné des yeux

je pense trop

Toutes les voix tournent dans ma tête et je ne peux pas les faire taire

Ils disent "l'ignorance est un bonheur"

Je ne dis pas que c'est 

Les nuits où je ne peux pas m'éteindre, je suis énervé

Pour moi, c'est la plupart des nuits de la semaine

Si nous regardons le monde, comment pourrions-nous dormir ?

Voir dans mes moments les plus profonds

Je ne peux garder que ce qui ne va pas dans le monde et nous ne pouvons même pas le résoudre

Comme si nous n'étions pas impliqués dans quoi que ce soit de promu que de nous concentrer sur notre propre petit

soi

Le reste peut aller en enfer

Comment puis-je le savoir si bien ?

C'est moi

Surtout à ces moments où je veux fuir la réalité

Genre "merde j'en ai assez"

Autant m'enfouir la tête dans le sable et fuir le monde

Pas de musique ni de politique, j'en ai fini avec tout ça, je n'en peux plus

Quand j'ai envie de "merde, j'en ai assez" x3

À la fin, je me dis "La ferme, lâche, suce tout"

Je suppose que la route vers la dépression est huilée par une expression étouffée

Et bien sûr l'oppression nue

Les leçons que nous sommes censés apprendre ne sont pas possibles

Parce que tu n'es pas un imbécile et que le professeur est horrible

Alors, quel choix reste-t-il aux âmes sensibles ?

Combattre le pouvoir ou le laisser nous engloutir ?

C'est facile à faire, regarde ce que nous sommes devenus

Si nous le pouvions, je suis sûr que nous trouverions un moyen d'éteindre le soleil

Parfois, quand j'ai envie de m'effondrer

Ou céder aux temps dans lesquels je suis pris au piège

Je contemple tous les autres surmontant leurs peurs

Combattre des batailles beaucoup plus dur pour que je puisse être ici

Alors je me sens comme le petit garçon stupide que je suis

Comptez mes bénédictions dans l'instant et revenez au plan

L'inspiration est la chose la plus étrange

Comment il voyage d'un esprit à un autre, transforme notre façon de penser

Je sais que l'esprit est un gros mot, dans ce monde obsédé par ce que nous avons et

que gagnons-nous ?

Mais c'est la seule façon d'expliquer les voix à l'intérieur de vous

Satisfait uniquement lorsque vous êtes inspiré pour

C'est la raison pour laquelle nous sentons que nous en avons assez, toujours à la fin nous parvenons à

relève-toi

Genre "merde j'en ai assez"

Autant m'enfouir la tête dans le sable et fuir le monde

Pas de musique ni de politique, j'en ai fini avec tout ça, je n'en peux plus

Quand j'ai envie de "merde, j'en ai assez" x3

À la fin, je me dis "La ferme, lâche, suce tout"

La vie est dure, la vie est belle

La vie est étrange, et la vie est inhabituelle

Si la vie est une étape, alors qui a écrit la comédie musicale ?

(Qui a écrit la comédie musicale ?)