Voici les paroles de la chanson : Поросячий рай , artiste : Александр Новиков Avec traduction
Texte original avec traduction
Александр Новиков
Время брыкается — да идет,
Уминая, как Молох, нас.
А в Кремле, вишь, опять идиот.
Ах, впрочем, в первый ли это раз.
Сабля-меч из папье-маше,
Треуголку скроив в треух,
Он мирянам свербит в душе
И гоняет дворцовых мух.
Припев:
Господи, боже мой, боже мой,
Рубится в пух и прах.
Бьется, как конь стреноженный,
Ветер в его вихрах.
Время мается да орет,
Все на свете крестьми крестя.
Вишь, сундук?.. А вокруг ворье.
Здесь, в России, оно в гостях.
На заморских фамилий рой
Все поделено на паях.
А в Кремле, вишь, опять герой
Рубит шашками в «чапая».
Припев:
Господи, боже мой, боже мой,
Хоть ты в иерихон сыграй.
Про рай с поросячьими рожами —
Про Поросячий Рай.
Время морщится, да свистит,
Да над каждой хрипит верстой.
А в Кремле, вишь, опять трансвестит,
Политический, не простой.
Что осталось ему?
Дожить.
Веет холодом от корон.
Но над скипетром он дрожит
И вцепляется с хрустом в трон.
Припев:
Господи, боже мой, боже мой,
Пошли нам прозренья для:
Что ж они так похожи,
Как все кирпичи Кремля?
Le temps passe - oui ça va,
Nous tuer comme Moloch.
Et au Kremlin, vous voyez, encore un idiot.
Ah, mais c'est la première fois.
Épée sabre en papier mâché,
J'ai coupé un tricorne en trois,
Il démange les âmes des laïcs
Et chasse les mouches du palais.
Refrain:
Seigneur, mon Dieu, mon Dieu,
Couper en miettes.
Bat comme un cheval entravé
Vent dans ses tourbillons.
Le temps peine et hurle,
Tout dans le monde est baptisé d'une croix.
Tu vois, coffre ?.. Et il y a des voleurs autour.
Ici, en Russie, c'est un invité.
Sur les noms de famille d'outre-mer grouillent
Tout est divisé en actions.
Et au Kremlin, tu vois, encore un héros
Il taille aux damiers en "chapaya".
Refrain:
Seigneur, mon Dieu, mon Dieu,
Au moins tu joues Jericho.
A propos du paradis avec des visages de cochon -
À propos de Pig Paradise.
Le temps fronce les sourcils, oui siffle,
Oui, une verste souffle sur chacun.
Et au Kremlin, tu vois, encore un travesti,
Politique, pas simple.
Que lui reste-t-il ?
Vivre.
Il souffle le froid des couronnes.
Mais sur le sceptre il tremble
Et s'accroche au trône avec un craquement.
Refrain:
Seigneur, mon Dieu, mon Dieu,
Envoyez-nous un aperçu pour :
Pourquoi sont-ils si similaires
Comme toutes les briques du Kremlin ?
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes