Присказка - Александр Новиков
С переводом

Присказка - Александр Новиков

  • Альбом: Хулиганские песни

  • Язык: russe
  • Длительность: 4:04

Voici les paroles de la chanson : Присказка , artiste : Александр Новиков Avec traduction

Paroles : Присказка "

Texte original avec traduction

Присказка

Александр Новиков

Оригинальный текст

В темных переулках, где

рассказывали сказки,

И в них очень верила

окрестная шпана,

Жизнь моя помчалася,

как с горочки салазки —

Вовремя не спрыгнул —

и случилась мне хана.

И приснилось мне в дыму

тюремного кошмара,

Будто я вернулся в эту

молодость мою.

А еще приснилась мне

моя гитара,

И с ней, по старой памяти,

я присказку пою.

«А как на улице одной

Жил да был один блатной:

Срок мотать и все — мотать —

Ах, век свободы не видать!

А как на улице одной

Жил да был один блатной.

Он — в тюрьму, и все — в тюрьму,

А кто блатнее не пойму".

Зря тогда красавица

состроила мне глазки —

Я им не поверил,

как не должен верить вор.

И она осталась навсегда

в далекой сказке,

Там, куда не пустит

заколюченый забор.

Там, где тополя

весной роняют перья,

Где я за ней бегом,

на вдохе их ловлю…

А потом проснусь и кованою дверью

Наотмашь захлопну

эту молодость мою.

«А как на улице одной

Жил да был один блатной —

Воровал — не воровал,

А потихоньку блатовал.

А как по улице одной

Шел за девушкой блатной,

Он — за ней, и я — за ней, —

А в этом деле я блатней".

А может так случится,

что и эту дверь откроют

И выведут в рубахе

цвета белого белей.

И опять по памяти

прогонят перед строем

Ряженых в парадное

белых тополей.

А дни замрут на стенах,

перечеркнуты крестами,

А в конце — квадратик из непрожитого дня.

Значит со свободой

поменялись мы местами,

Значит эта присказка будет

про меня.

Перевод песни

Dans les ruelles sombres où

racontait des histoires,

Et j'ai vraiment cru en eux

les punks du quartier,

Ma vie s'est précipitée

comme un traîneau d'une colline -

N'a pas sauté à temps -

et Khan m'est arrivé.

Et j'ai rêvé en fumée

cauchemar carcéral,

C'est comme si j'étais de retour dans ça

ma jeunesse.

Et j'ai aussi rêvé

ma guitare

Et avec elle, selon la vieille mémoire,

Je chante un proverbe.

"Et comment dans la rue seule

Il y a vécu et il y avait un voyou:

Enrouler le terme et tout - enrouler -

Ah, l'âge de la liberté ne se voit pas !

Mais comme dans la rue seule

Il vivait et il y avait un voyou.

Il est en prison, et tout le monde est en prison,

Et je ne comprends pas qui est le plus flagrant.

En vain alors la beauté

m'a fait les yeux

je ne les croyais pas

comment un voleur ne devrait pas croire.

Et elle est restée pour toujours

dans un conte de fée lointain

Où il ne vous laissera pas entrer

clôture barbelée.

Où les peupliers

les plumes tombent au printemps

Où est-ce que je cours après elle,

Je les prends dans mon souffle...

Et puis je me réveille avec une porte en fer forgé

je vais le claquer

ma jeunesse.

"Et comment dans la rue seule

Il vivait et il y avait un voyou -

A volé - n'a pas volé,

Et blabla lentement.

Et comment le long de la rue

J'ai suivi une fille de voleurs,

Il est derrière elle, et je suis derrière elle, -

Et dans ce cas, je suis un voyou."

Et peut-être que ça arrivera

que cette porte s'ouvrira

Et ils te sortiront en chemise

couleurs de blanc blanc.

Et encore de mémoire

conduit devant les rangs

Les momies devant

peupliers blancs.

Et les jours gèleront sur les murs,

barré de croix

Et à la fin - un carré d'une journée non vécue.

Alors avec la liberté

nous avons changé de place

Donc, cet indice va

sur moi.

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