Жги - Алиса

На стыке всех путей,

На связи всех времен

Открыта суть страстей.

И Имя Имен стали ответит огнем

На все, что мы себе забрали.

Из ничего, из ниоткуда проходит путь в никуда.

На том пути все жаждут чуда и верят воле кнута.

Глазами в пол, шеренги ада, копают вглубь или ширь.

Все, как всегда, тупое стадо пасет слепой поводырь.

Жги…

Уроки лет, заветы века и предсказания эпох.

Не изменили человека, он тот же загнанный л*х.

Все та же спесь, все те же позы, все тех же ниток узлы.

Семь из десяти по жизни к*зы, а остальные — к*злы.

Лишь единиц готовит Небо увидеть в круге воды,

Что даже там, где ждет победа, недалеко до беды.

Жги…

И дольше века длится день, и идол мира безутешен,

Кто променял себя на тень, повержен!

Жги, жги землю ветер!

Есть упоение в бою!

В крови пульсирует победа!

За эту жизнь благодарю Силу Света!

Лишь Небо знает час,

Когда остынет мир.

Мир Небу не указ —

Зачитан до дыр черных,

Последний эфир набатом поднимает твердых.

Какая жизнь, такие песни и ни добавить, ни взять.

Я остаюсь лишь с теми вместе, кто знал, за что умирать.

Жги… Жги…

Жги… Жги…

Au carrefour de tous les chemins,

En contact de tous les temps

L'essence des passions est révélée.

Et le Nom des Noms d'acier répondra par le feu

Pour tout ce que nous avons pris pour nous.

De rien, de nulle part, il y a un chemin vers nulle part.

Sur ce chemin, tout le monde aspire à un miracle et croit en la volonté du whip.

Yeux au sol, rangs d'enfer, creuser profond ou large.

Tout, comme toujours, un troupeau stupide est pâturé par un guide aveugle.

Brûler…

Les leçons des années, les alliances du siècle et les prédictions des époques.

Ils n'ont pas changé la personne, il est le même l * x motivé.

Toujours la même arrogance, toutes les mêmes poses, tous les mêmes nœuds de fil.

Sept personnes sur dix dans la vie sont k * zy, et les autres sont k * mal.

Seuls quelques-uns préparent le ciel à voir dans un cercle d'eau,

Que même là où la victoire attend, le désastre n'est pas loin.

Brûler…

Et le jour dure plus d'un siècle, et l'idole du monde est inconsolable,

Qui s'est échangé contre une ombre est vaincu !

Brûle, brûle le vent de la terre !

Il y a du ravissement dans la bataille !

La victoire bat dans le sang !

Pour cette vie, je remercie le Pouvoir de la Lumière !

Seul le ciel connaît le temps

Quand le monde est froid.

La paix au ciel n'est pas un décret -

Lire dans les trous noirs,

Le dernier éther avec un tocsin soulève les solides.

Quelle vie, de telles chansons et ni rajouter ni prendre.

Je ne reste qu'avec ceux qui savaient ensemble pour quoi mourir.

Brûle Brûle...

Brûle Brûle...