Ради Никиты - Bahh Tee

Будто не ему писала письма вечерами: «Люблю, скучаю» и в конце веселый смайлик.

Он в камуфляже, с автоматом — это фото висело над ее кроватью полтора года.

Будто не его ждала, не о нем мечтала, Будто не ему клялась на берегу песчаном.

Будто не с ним венчалась, будто не он честно был рядом с ней все эти девять

месяцев.

Она была сиротой — это не ее ошибка, любовь сука та еще, а счастье зыбко.

И с тех пор, как пристрастился он к напиткам, жизнь с ним стала для нее сущей

пыткой.

Ее грустными, его пьяными ночами, он кричал, она молчала и ручьями.

Слезы с глаз ее текли по лицу разбитому, а в своей комнате рыдал маленький

Никита.

Слыша крики ему не было и двух, когда мать шагала рядом с отцом в гробу.

Что творилось, он не понимал толком, да и не нужно, хорошо, что был ребенком.

Родных не было у ней, друзья пропали, его друзья — просто пьяная компания.

Подруги что-то говорили, но не легче платить за съемную квартиру стало быть и

нечем.

И проще было умереть, стать убитой, но нужно было жить, — жить ради Никиты.

Нужно было только, но не было средств.

Никита будет счастлив, даже ценой ее

чести.

Днем рядом с сыном, ночью на панели.

Ради денег ее тело — в чужой постели.

И так противно даже целовать сына, — все было бы иначе, будь в ее силах.

И каждый раз с утра подходя к своему дому, прятала глаза от соседей незнакомых.

И проще было сдохнуть, было очень стыдно, но нужно было жить, дома ждал Никита.

Днем рядом с сыном, ночью на панели, ради денег ее тело — в чужой постели.

И хотелось умереть, было очень стыдно, но нужно было жить, — жить ради Никиты.

Днем рядом с сыном, ночью на панели, ради денег ее тело — в чужой постели.

И хотелось умереть, было очень стыдно, но нужно было жить, — жить ради Никиты.

Днем рядом с сыном, ночью на панели, ради денег ее тело — в чужой постели.

И хотелось умереть, было очень стыдно, но нужно было жить, — жить ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Ради Никиты.

Comme si elle ne lui écrivait pas de lettres le soir : "Je t'aime, tu me manques" et à la fin un drôle de smiley.

Il est en tenue de camouflage, avec une mitrailleuse - cette photo est restée accrochée au-dessus de son lit pendant un an et demi.

Comme si elle ne l'attendait pas, ne rêvait pas de lui, Comme si elle ne lui avait pas juré sur le rivage sablonneux.

Comme si elle ne l'avait pas épousé, comme s'il n'était pas honnêtement à côté d'elle tous ces neuf

mois.

Elle était orpheline - ce n'est pas son erreur, l'amour est toujours une garce, mais le bonheur est instable.

Et depuis qu'il est devenu accro aux boissons, la vie avec lui est devenue réelle pour elle.

torture.

Pendant ses nuits tristes et ivres, il criait, elle se taisait et coulait à flots.

Des larmes coulaient de ses yeux sur son visage brisé, et dans sa chambre le petit

Nikita.

Entendant des cris, il n'avait même pas deux ans quand sa mère marchait à côté de son père dans un cercueil.

Il ne comprenait pas vraiment ce qui se passait, et il n'en avait pas besoin, c'est bien qu'il ait été un enfant.

Elle n'avait pas de parents, ses amis étaient partis, ses amis n'étaient qu'une bande d'ivrognes.

Les copines ont dit quelque chose, mais ce n'est pas plus facile de payer pour un appartement loué, et donc

rien.

Et c'était plus facile de mourir, d'être tué, mais il fallait vivre, vivre pour Nikita.

C'était seulement nécessaire, mais il n'y avait pas de fonds.

Nikita sera heureuse, même au prix d'elle

honneur.

La journée à côté de mon fils, la nuit sur le panneau.

Pour l'argent, son corps est dans le lit de quelqu'un d'autre.

Et c'est tellement dégoûtant même d'embrasser son fils - tout aurait été différent si elle avait été en son pouvoir.

Et chaque fois le matin, en s'approchant de sa maison, elle se cachait les yeux des étrangers.

Et c'était plus facile de mourir, c'était très embarrassant, mais il fallait vivre, Nikita attendait à la maison.

Le jour à côté de son fils, la nuit sur le panneau, pour l'argent son corps est dans le lit de quelqu'un d'autre.

Et je voulais mourir, j'avais très honte, mais je devais vivre - vivre pour Nikita.

Le jour à côté de son fils, la nuit sur le panneau, pour l'argent son corps est dans le lit de quelqu'un d'autre.

Et je voulais mourir, j'avais très honte, mais je devais vivre - vivre pour Nikita.

Le jour à côté de son fils, la nuit sur le panneau, pour l'argent son corps est dans le lit de quelqu'un d'autre.

Et je voulais mourir, j'avais très honte, mais je devais vivre - vivre pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.

Pour Nikita.