Что дальше? - БРАТУБРАТ

Бросил курить, бросил бродить,

Бросил искать, бросил ловить;

Я проредил ряды общения, их свёл на нить,

Стало трудно быть, стало скучно жить.

Люди глухие, скупые, немые,

Я весь в бегах от них забыл что значит выходные.

Самое время время сейчас заныть, да, но ныть не наше.

Самое время тупо спиться.

Да, но, а что дальше?

Вас, х*й, пойми чё накатать вам в пору.

Х*й пойми, кто собирает танцполы.

Сейчас так сложно оторвать своё лицо от мобилы.

Дети индиго?

Нет, школьники-имбицилы.

Как будто ничему нас жизнь не учит.

Потом, бывает как обычно, оп, момент и случай.

Потом, копаемся в себе, взгляд в потолок-седеем,

Оп, и резко взрослеем.

Я шёл домой и про себя матерился,

Задел прохожего плечом и тут же извинился.

Думал о времени, но времени попросту нету.

Плюнул, стрельнул сигарету.

Припев:

И светит солнце и снег в лицо,

Колотит сердце, в душе темно;

И пепла больше, чем огня.

Нас угощают с ладони, но мы едим с ножа.

И светит солнце и снег в лицо,

Колотит сердце, в душе темно;

И пепла больше, чем огня.

Нас угощают с ладони, но мы едим с ножа.

Лети-лети моя душа, нам тут слишком тесно.

Не заблудиться бы, найти своё место.

Всем подавай иллюзию, мало же яда,

Мы так часто забываем, что важное рядом.

Приключения любил, чуть не нашёл было…

Слава Богу живы!

Тянуло в стрёмные места, весело только ночью,

Я в детстве часто слышал, что плохо закончу.

Лишь раз живём, я слил весь негатив,

Порой, совсем без сил, но продолжаем заплыв.

Теряемся в быту, в шуме дорог, людей без лиц,

Стрёмных типов, и в край бестолковых бикс.

Знаю, как на всё забить, тут только так.

Не знаю как жить, но не тебе меня учить, дурак.

А толку жаловаться, руки сложа?

Порезав язык, мы продолжаем есть с ножа.

Припев:

И светит солнце и снег в лицо,

Колотит сердце, в душе темно;

И пепла больше, чем огня.

Нас угощают с ладони, но мы едим с ножа.

И светит солнце и снег в лицо,

Колотит сердце, в душе темно;

И пепла больше, чем огня.

Нас угощают с ладони, но мы едим с ножа.

Декабрь, 2015.

Arrêtez de fumer, arrêtez de vagabonder

J'ai arrêté de regarder, j'ai arrêté d'attraper;

J'ai éclairci les rangs de la communication, les ai ramenés à un fil,

C'est devenu difficile d'être, c'est devenu ennuyeux de vivre.

Les gens sont sourds, méchants, muets,

Je les fuis, j'ai oublié ce que signifie le week-end.

Il est temps de pleurnicher maintenant, oui, mais pleurnicher n'est pas le nôtre.

Il est temps d'aller dormir.

Oui, mais quelle est la prochaine ?

Vous, x * d, comprenez ce qu'il faut rouler pour vous au bon moment.

Fuck comprendre qui collectionne les pistes de danse.

Maintenant, il est si difficile de retirer votre visage de votre mobile.

Enfants indigo ?

Non, écoliers imbéciles.

Comme si la vie ne nous apprenait rien.

Ensuite, ça se passe comme d'habitude, op, moment et hasard.

Ensuite, nous plongeons en nous-mêmes, regardons le plafond, devenons gris,

Oh, et nous grandissons vite.

Je suis rentré chez moi et je me suis maudit,

Il a frappé un passant avec son épaule et s'est immédiatement excusé.

J'ai pensé au temps, mais il n'y a tout simplement pas de temps.

Il a craché, tiré une cigarette.

Refrain:

Et le soleil brille et la neige au visage,

Le cœur bat la chamade, il fait sombre dans l'âme ;

Et il y a plus de cendres que de feu.

Nous sommes servis au creux de la main, mais nous mangeons au couteau.

Et le soleil brille et la neige au visage,

Le cœur bat la chamade, il fait sombre dans l'âme ;

Et il y a plus de cendres que de feu.

Nous sommes servis au creux de la main, mais nous mangeons au couteau.

Vole, vole, mon âme, nous sommes trop nombreux ici.

Ne vous perdez pas, trouvez votre place.

Donne à chacun une illusion, petit poison,

On oublie si souvent que l'important est à proximité.

J'adorais les aventures, j'ai failli trouver...

Dieu merci vivant !

Attiré par les endroits sombres, amusant seulement la nuit,

Enfant, j'entendais souvent que je finirais mal.

Nous ne vivons qu'une fois, j'ai divulgué toute la négativité,

Parfois, complètement épuisés, mais nous continuons à nager.

On se perd dans le quotidien, dans le bruit des routes, des gens sans visage,

Des types muets, et jusqu'au bord des becs stupides.

Je sais marquer sur tout, c'est le seul moyen.

Je ne sais pas comment vivre, mais ne m'apprends rien, imbécile.

A quoi bon se plaindre les mains jointes ?

Après avoir coupé la langue, nous continuons à manger au couteau.

Refrain:

Et le soleil brille et la neige au visage,

Le cœur bat la chamade, il fait sombre dans l'âme ;

Et il y a plus de cendres que de feu.

Nous sommes servis au creux de la main, mais nous mangeons au couteau.

Et le soleil brille et la neige au visage,

Le cœur bat la chamade, il fait sombre dans l'âme ;

Et il y a plus de cendres que de feu.

Nous sommes servis au creux de la main, mais nous mangeons au couteau.

décembre 2015.