Viejo Smoking - Carlos Gardel, Alfredo De Angelis
С переводом

Viejo Smoking - Carlos Gardel, Alfredo De Angelis

Альбом
El Album De Oro De Carlos Gardel
Год
1930
Язык
`Espagnol`
Длительность
158620

Voici les paroles de la chanson : Viejo Smoking , artiste : Carlos Gardel, Alfredo De Angelis Avec traduction

Paroles : Viejo Smoking "

Texte original avec traduction

Viejo Smoking

Carlos Gardel, Alfredo De Angelis

Оригинальный текст

Campaneá cómo el cotorro va quedando despoblado

Todo el lujo es la catrera compadreando sin colchón

Y mirá este pobre mozo cómo ha perdido el estado

Amargado, pobre y flaco como perro de botón

Poco a poco todo ha ido de cabeza p’al empeño

Se dio juego de pileta y hubo que echarse a nadar…

Sólo vos te vas salvando porque pa' mi sos un sueño

Del que quiera Dios que nunca me vengan a despertar

Viejo smocking de los tiempos

En que yo también tallaba…

¡Cuánta papusa garaba

En tus solapas lloró!

Solapas que con su brillo

Parece que encandilaban

Y que donde iba sentaban

Mi fama de gigoló

Yo no siento la tristeza de saberme derrotado

Y no me amarga el recuerdo de mi pasado esplendor;

No me arrepiento del vento ni los años que he tirado

Pero lloro al verme solo, sin amigos, sin amor;

Sin una mano que venga a llevarme una parada

Sin una mujer que alegre el resto de mi vivir…

¡Vas a ver que un día de éstos te voy a poner de almohada

Y, tirao en la catrera, me voy a dejar morir!

Viejo smocking, cuántas veces

La milonguera más papa

El brillo de tu solapa

De estuque y carmín manchó

Y en mis desplantes de guapo

¡cuántos llantos te mojaron!

¡cuántos taitas envidiaron

Mi fama de gigoló!

Перевод песни

Campaneá comment le perroquet se dépeuple

Tout le luxe est la catrera compadreando sans matelas

Et regarde ce pauvre jeune homme comme il a perdu son état

Amer, pauvre et maigre comme un chien bouton

Petit à petit tout est passé de la tête à la fin

Il y avait une partie de billard et nous devions aller nager...

Seulement tu te sauves car pour moi tu es un rêve

Celui que Dieu veut qu'ils ne viennent jamais me réveiller

smoking d'antan

Dans lequel j'ai aussi sculpté…

Combien de papusa garaba

Dans vos revers il a pleuré !

Des revers qui avec leur éclat

Il paraît qu'ils ont ébloui

Et là où il est allé, ils se sont assis

Ma renommée de gigolo

Je ne ressens pas la tristesse de me savoir vaincu

Et le souvenir de ma splendeur passée ne me rend pas amer ;

Je ne regrette pas l'événement ou les années que j'ai perdues

Mais je pleure quand je me vois seul, sans amis, sans amour ;

Sans une main pour venir m'arrêter

Sans une femme pour égayer le reste de ma vie...

Tu vas voir qu'un de ces jours je te mettrai en oreiller

Et, jeté dans la catrera, je vais me laisser mourir !

Vieux tabagisme, combien de fois

La milonguera la plus cool

L'éclat de ton revers

Stucco et carmin teinté

Et dans ma belle grossièreté

Combien de larmes t'ont mouillé !

combien de taitas enviés

Ma gloire de gigolo !

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