Voici les paroles de la chanson : Viejo Smoking , artiste : Carlos Gardel, Alfredo De Angelis Avec traduction
Texte original avec traduction
Carlos Gardel, Alfredo De Angelis
Campaneá cómo el cotorro va quedando despoblado
Todo el lujo es la catrera compadreando sin colchón
Y mirá este pobre mozo cómo ha perdido el estado
Amargado, pobre y flaco como perro de botón
Poco a poco todo ha ido de cabeza p’al empeño
Se dio juego de pileta y hubo que echarse a nadar…
Sólo vos te vas salvando porque pa' mi sos un sueño
Del que quiera Dios que nunca me vengan a despertar
Viejo smocking de los tiempos
En que yo también tallaba…
¡Cuánta papusa garaba
En tus solapas lloró!
Solapas que con su brillo
Parece que encandilaban
Y que donde iba sentaban
Mi fama de gigoló
Yo no siento la tristeza de saberme derrotado
Y no me amarga el recuerdo de mi pasado esplendor;
No me arrepiento del vento ni los años que he tirado
Pero lloro al verme solo, sin amigos, sin amor;
Sin una mano que venga a llevarme una parada
Sin una mujer que alegre el resto de mi vivir…
¡Vas a ver que un día de éstos te voy a poner de almohada
Y, tirao en la catrera, me voy a dejar morir!
Viejo smocking, cuántas veces
La milonguera más papa
El brillo de tu solapa
De estuque y carmín manchó
Y en mis desplantes de guapo
¡cuántos llantos te mojaron!
¡cuántos taitas envidiaron
Mi fama de gigoló!
Campaneá comment le perroquet se dépeuple
Tout le luxe est la catrera compadreando sans matelas
Et regarde ce pauvre jeune homme comme il a perdu son état
Amer, pauvre et maigre comme un chien bouton
Petit à petit tout est passé de la tête à la fin
Il y avait une partie de billard et nous devions aller nager...
Seulement tu te sauves car pour moi tu es un rêve
Celui que Dieu veut qu'ils ne viennent jamais me réveiller
smoking d'antan
Dans lequel j'ai aussi sculpté…
Combien de papusa garaba
Dans vos revers il a pleuré !
Des revers qui avec leur éclat
Il paraît qu'ils ont ébloui
Et là où il est allé, ils se sont assis
Ma renommée de gigolo
Je ne ressens pas la tristesse de me savoir vaincu
Et le souvenir de ma splendeur passée ne me rend pas amer ;
Je ne regrette pas l'événement ou les années que j'ai perdues
Mais je pleure quand je me vois seul, sans amis, sans amour ;
Sans une main pour venir m'arrêter
Sans une femme pour égayer le reste de ma vie...
Tu vas voir qu'un de ces jours je te mettrai en oreiller
Et, jeté dans la catrera, je vais me laisser mourir !
Vieux tabagisme, combien de fois
La milonguera la plus cool
L'éclat de ton revers
Stucco et carmin teinté
Et dans ma belle grossièreté
Combien de larmes t'ont mouillé !
combien de taitas enviés
Ma gloire de gigolo !
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