Boxcar Diaries - Cecil Otter

Outside, there’s a boxcar waitin' for us.

It ain’t in a rush

So we can paint with a brush made of patience and such

And keep the faith in our guts

Now these ants in my heart got it dancin' in the dark

With a flash and a spark, she advances with a shark

In a choke hold, no cold, we’re eatin' good tonight

The two leadin' look-a-likes, from every seedy nook in site

Hindsight flight of the offshore fishermen

This feelin' even better than the fair-weather men

That led me to believe, led me to the seas

Where the fish and disease are just wicks lit in the breeze

Leave, the injuries leave like a treaty

From the hand of the bleeding, while we stand there repeating

«We can’t leave this evening;

it’s too young to start retreating

We can’t leave this evening;

it’s too young to start retreating.»

So now we’re leaping from highs to highers

As we’re sleeping beside a fire

And it’s creeping inside the bed

Creeping inside the bed, creeping inside the bed

So with a stomach full of monarchs and eat, sleep on repeat

We leave them two leaves and leave this life

At ease riders on a storm

Too perfect to put into words;

perfect is what it deserves

Curve the hurt and the nerves, so we can work our limbs

Around an urge and grin and bear the verge of overkill

Motor skill heads, heading towards a bed of roses, called a haystack

And on the way back, I see her face crack

She’s having dreams that a runaway cat came back

And I don’t know what to say that’ll change that

And I can’t take that (I can’t)

So when I can taste your misery, vividly

I want to instantly turn it into history

Bitterly sweet hearts and in the restart

Livin' like we heart too heart to heart for…

Dehors, un wagon couvert nous attend.

Ce n'est pas pressé

Nous pouvons donc peindre avec un pinceau fait de patience et autres

Et garde la foi dans nos tripes

Maintenant, ces fourmis dans mon cœur l'ont fait danser dans le noir

Avec un éclair et une étincelle, elle avance avec un requin

Dans une prise d'étranglement, pas de froid, nous mangeons bien ce soir

Les deux principaux sosies, de tous les recoins miteux du site

Vol rétrospectif des pêcheurs hauturiers

Je me sens encore mieux que les hommes du beau temps

Cela m'a amené à croire, m'a conduit vers les mers

Où le poisson et la maladie ne sont que des mèches allumées dans la brise

Partez, les blessures partent comme un traité

De la main de l'hémorragie, pendant que nous restons là à répéter

« Nous ne pouvons pas partir ce soir ;

il est trop jeune pour commencer à battre en retraite

Nous ne pouvons pas partir ce soir ;

il est trop jeune pour commencer à battre en retraite. »

Alors maintenant, nous sautons de sommets en sommets

Alors que nous dormons à côté d'un feu

Et ça rampe à l'intérieur du lit

Rampant à l'intérieur du lit, rampant à l'intérieur du lit

Alors avec un estomac plein de monarques et mangez, dormez à répétition

Nous leur laissons deux feuilles et quittons cette vie

Coureurs à l'aise lors d'une tempête

Trop parfait pour être mis en mots ;

parfait est ce qu'il mérite

Courbez la douleur et les nerfs, afin que nous puissions travailler nos membres

Autour d'une envie et sourire et supporter le bord de l'exagération

Têtes motrices, se dirigeant vers un lit de roses, appelé botte de foin

Et sur le chemin du retour, je vois son visage se fissurer

Elle rêve qu'un chat en fuite est revenu

Et je ne sais pas quoi dire qui changera ça

Et je ne peux pas supporter ça (je ne peux pas)

Alors quand je peux goûter ta misère, vivement

Je veux le transformer instantanément en histoire

Coeurs amèrement doux et au redémarrage

Vivant comme si nous étions trop cœur à cœur pour…