Let Me Tell You - Cecil Otter

It’s been a long time coming

Lock, stock, coming for the livestock

Running for their lives

It’s been a long time coming

Lock, stock, coming

Mettle to metal, the medals of honor pierce his chest

Kettle to kettle, man, his heart is black;

it bleeds for death

To all the rebels livin' off the laws that fear suggests

He appears a mess, but there’s this message he’s decoded

And he’s the envy of the unknowing, but all willing to picture it all perfect

He talks into this mic, with nothing in mind, the image is all worth it

No worship in his blood or curse is worth believin' in

He’s up, and he’s leavin' a love for no reason

Now, he’s making his rounds.

He pounds his chest and hits the street

He’s bad to the bone with bad bones, but he don’t admit defeat

Visits the meek, who inherently speak through a

Well-oiled machine of a heart, and it don’t back off

Comes from a back log of lost and tough luck

He’s completely punch drunk and too exhausted to touch love

But it’s kept tucked away, with a new fade-proof innocence

That’s underage and overpaid attention to

And since he’s destined to live without a destiny to rest into

He’ll just search for recipes, from entries to exit wounds

Sets the moonshine down, writes another victim’s tune

And washes the blood from his hands with drinks until his fingers prune

He never had faith in God, only trusts the custody he seeks

And he’d just love to have you judge him by the company he keeps

The company of wolves, customized and cunning

Up, up, and running wild in the streets, running, running

He’s cuttin' it close;

he’s luxury class

He’s up in the smoke and ash of habits that have broken fast

But he’s crass, so don’t cross him.

He’s wild in sorrow

He manages his emotions and lights another Marlboro

Cela fait longtemps

Écluse, stock, à venir pour le bétail

Courir pour leur vie

Cela fait longtemps

Serrure, stock, à venir

Courage au métal, les médailles d'honneur transpercent sa poitrine

Bouilloire à bouilloire, mec, son cœur est noir ;

ça saigne pour la mort

À tous les rebelles qui vivent des lois que la peur suggère

Il semble un gâchis, mais il y a ce message qu'il a décodé

Et il fait l'envie de l'inconnu, mais tous sont prêts à imaginer tout cela parfait

Il parle dans ce micro, sans rien en tête, l'image en vaut la peine

Aucun culte dans son sang ou aucune malédiction ne vaut la peine d'être cru

Il est debout et il quitte un amour sans raison

Maintenant, il fait sa ronde.

Il frappe sa poitrine et descend dans la rue

Il est mauvais jusqu'à l'os avec de mauvais os, mais il n'admet pas la défaite

Visite les doux, qui par nature parlent à travers un

Machine bien huilée d'un cœur, et elle ne recule pas

Provient d'un historique de perte et de malchance

Il est complètement ivre et trop épuisé pour toucher l'amour

Mais il est gardé caché, avec une nouvelle innocence à l'épreuve de la décoloration

C'est une attention mineure et surpayée

Et puisqu'il est destiné à vivre sans destin dans lequel se reposer

Il cherchera simplement des recettes, des entrées aux blessures de sortie

Pose le clair de lune, écrit la mélodie d'une autre victime

Et lave le sang de ses mains avec des boissons jusqu'à ce que ses doigts taillent

Il n'a jamais eu foi en Dieu, ne fait confiance qu'à la garde qu'il demande

Et il adorerait que vous le jugez par la compagnie qu'il tient

La compagnie des loups, personnalisée et rusée

Debout, debout et courant sauvagement dans les rues, courant, courant

Il le coupe de près ;

il est de la classe de luxe

Il est dans la fumée et les cendres d'habitudes qui se sont rapidement rompues

Mais il est grossier, alors ne le croisez pas.

Il est sauvage dans le chagrin

Il gère ses émotions et allume une autre Marlboro